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Tonton j'ai froid (1)
Datte: 11/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: colombus, Source: Xstory
... légères caresses et j’effleure le dessous de ses petits seins que je sens bien fermes. — Tonton. — Oui ? — Je suis bien avec toi. — Moi aussi. — Mais je vais te laisser, pour aller me changer. J’ai chaud maintenant. Je vais préparer notre repas, à toute. Elle se lève, s’entoure du drap de bain et jette un regard sur moi et, il me semble, son attention reste accrochée sur mon short et sur le relief de mon membre qui n’est pas resté insensible à ce contact. Un grand sourire se dessine sur son visage et cette charmante demoiselle me donne un bisou, juste au bord des lèvres. Je suis abasourdi de ce qui vient de se passer, à la fois frustré de la fin de notre contact, et ravi d’avoir vécu un très agréable moment de sensualité avec ma nièce. Le repas du soir, sur la terrasse à nouveau ensoleillée, se passe dans une franche bonne humeur et nous nous racontons certains épisodes de nos vies. Elle, ses histoires de profs, de petits copains, les fous rires avec ses amies. Moi mes situations cocasses sur les chantiers, mes aventures avec mes amis, mon intérêt pour la lecture. Nous finissons par nous installer devant la télé. Je suis un peu enivré par le vin bu au cours du repas. Le film est sans grand intérêt. Nous sommes assis côte à côte sur le canapé, mon bras posé sur son épaule. Il émane d’elle un doux parfum qui me charme. — Tonton ? — Oui ? — J’ai un peu froid. — Ah ? Et ? — Je peux venir contre toi ? — Si tu veux. Claudine vient s’asseoir ...
... sur mes cuisses, les jambes écartées, et je sens ses magnifiques petites fesses exercer une pression contre mon bas-ventre. Elle prend une couverture légère et la pose sur elle, sur nous. Mon visage est lové au creux de son cou et je ne peux m’empêcher de lui donner des tendres petits bisous. Son corps s’abandonne contre le mien et nous voilà enveloppés d’une suave tiédeur. Mes mains se posent sur son débardeur. Je caresse son ventre doucement, le mouvement de mes doigts finit par remonter lentement le tissu. La paume de ma main entre en contact avec sa douce peau et j’exerce une pression un peu plus appuyée. Claudine ne bouge pas et semble apprécier mon attouchement en soupirant. J’en déduis qu’elle aime cela et mon trouble augmente. Mon autre main effleure son épaule et j’écarte la fine bretelle de son débardeur pour explorer la zone située juste au-dessus de sa poitrine. Quelle agréable surprise de constater que cette jeune fille ne porte pas de soutif ! La sensualité du moment est délicieuse. Elle tourne un peu le visage et ses lèvres se posent sur mon cou. Doucement, mon investigation manuelle continue sur ses délicieux petits seins. Je tourne à mon tour le visage vers le sien et nos lèvres se touchent. Je murmure : — T’es bien ? — Oui. — Tu as une peau si douce... Mes doigts font des petits ronds autour de ses tétons qui sont en érection, à l’instar de mon sexe qu’elle doit sentir au creux de ses reins. Elle bouge le bassin et je peux sentir la naissance ...