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Tonton j'ai froid (1)
Datte: 11/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: colombus, Source: Xstory
... je mets une serviette de bain sur moi pour continuer à goûter la sensation de chaleur. Je sens la somnolence m’envahir et je ne résiste pas. Je me réveille à moitié au son du clapotis de l’eau dans la piscine. J’ouvre un œil et j’aperçois ma nièce nageant tranquillement. Je me redresse un peu et je la regarde faire des aller et retour. Elle a un style très gracieux, c’est vraiment agréable de la voir nager. Au bout d’un moment, cette ondine sort de l’eau et je peux admirer sa silhouette de jeune femme. Elle porte un maillot une pièce de couleur noir, un léger décolleté, des bretelles larges, et le bas laisse voir une partie de ses hanches. Ce n’est manifestement plus le corps de la gamine que j’ai connu il y a quelques années. Un délice pour mes yeux. Elle s’approche de moi en me regardant avec un petit sourire, arrivée à côté du transat, elle se tourne et secoue légèrement ses cheveux. Vu de dos, le tissu du maillot couvre la moitié de ses petites fesses et s’arrête juste au-dessus de sa taille, laissant une magnifique vue sur son dos musclé et ses épaules bien dessinées. Le vent se lève et dans le ciel, les nuages couvrent le soleil. Claudine me fait face et dit : — Brrr, fait pas chaud. Pas de chance ces nuages. Tonton, j’ai froid. — Tiens, prends ma serviette et sèche-toi alors. — Merci. Elle se frotte vigoureusement sur tout le corps et moi j’admire son anatomie sans retenue. Après un certain temps, elle s’arrête et je vois de la chair de poule sur ...
... ses fines jambes. — Tonton, j’ai encore froid. — Viens près de moi, je vais te réchauffer. — Pousse-toi un peu, que je puisse m’asseoir. Je me redresse un peu, pose les jambes de part et d’autre du transat et l’invite à s’asseoir devant moi. Elle hésite un court instant, s’assoit et se couche contre moi. Je lui dis : — Mets la serviette sur toi et tu verras, tu vas vite te réchauffer. — Oh tu as chaud toi ! Je passe mes mains autour d’elle et je croise les doigts sur son ventre. Je frissonne et sens le tissu mouillé entre mes cuisses et mon bas-ventre et le contact de la peau de son dos nu contre ma poitrine. La présence de cette jouvencelle contre moi est exquise. — Alors, ça va mieux ? — Oui. — Détends-toi. Dans quelques minutes, ça ira mieux. Je décroise les doigts, une de mes paluches lui caresse délicatement la zone située juste sous la poitrine et l’autre se pose sur son nombril. Je sens son corps se détendre complètement et sa tête se dépose sur mon épaule. — Mmmh, je suis bien, me dit-elle dans un soupir. — Moi aussi ma douce. Un de ses bras glisse sur le côté contre ma jambe et l’autre se pose sur ma main immobile qui est sur son nombril. Nous ne bougeons plus pendant de longues secondes et j’ai comme l’impression que nos corps se soudent. La frontière entre nos peaux devient floue. Je tourne un peu le visage et embrasse tendrement sa joue à travers ses cheveux humides. Ma main qui est posée juste sous sa poitrine commence de ...