Déchéance et rédemption (19)
Datte: 11/12/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: simson3, Source: Xstory
... n’était réservé qu’aux hommes gays.
- Pas seulement en Occident, Mai-Linh chérie. Ton déshonorable petit trou de derrière peut devenir suprême source de plaisir si tu acceptes de me le confier. Tu veux bien me laisser te montrer?
- Madame Hua sera honorée de profiter de votre science et d’accepter vos honorables douceurs, même les plus sournoises.
Afin de ne pas trop brusquer sa compagne, c’est en utilisant sa propre bouche que la fille lubrifia de salive le gode destiné à déflorer analement la combattante chinoise. Elle approfondit son anulingus puis travailla doucement le sphincter à l’aide de deux doigts. Semblant impassible au tout début, la jeune Chinoise manifesta finalement son appréciation:
- Oooh! Humm. Vos touchers sont très délicats, Miss Blondin, reconnut celle qui allait goûter pour la première fois aux joies de la sodomie.
- On prend une respiration profonde, ma jolie, ordonna l’autre comme elle forçait doucement l’instrument dans l’orifice dilaté.
- Oh, je me sens... envahie. C’est comme... non, ce serait trop déshonorant de dire ça.
Catherine amorça de lents mouvements, confortant graduellement l’anus fraîchement dévirginisé.
- Oooh, bizarre mais amusant! annonça la femme qui s’abandonnait de plus en plus à sa compagne tout en ressentant un nouveau et pervers plaisir croître en elle. Vous appelez ça comment, en Amérique?
- Sodomie, tout simplement. Mais moi je préfère dire ...
... ’cochonner l’autre’, fit celle qui augmentait doucement l’intensité de ses mouvements dans les entrailles de sa partenaire, le tout en reprenant un délicieux cunnilingus.
- Oooh, cochonner? Comme une truie? Alors faites de moi votre misérable cochonne, Miss Kǎi tè lín! Faites-moi crier comme une truie qu’on égorge à l’abattoir!
Les instants qui suivirent furent effectivement ponctués des gémissements de jouissance exprimés par l’Asiatique. Et alors qu’elle affermissait son emprise dans l’orifice anal de sa partenaire qu’elle initiait à de pervers mais intenses nouveaux plaisirs, Catherine fit exploser un bouton d’amour dans une giclée de cyprine qui lui aspergea le visage.
Ainsi se conclut la nuit chez Hua Mai-Linh, les activités s’y déroulant s’apparentant davantage à une débridée nuit de noces saphique qu’à la visite d’une touriste canadienne chez une résidente du pays. Les très agréables moments que connurent ensemble les deux amoureuses d’un soir furent ainsi témoins de suaves échanges chez des femmes qui se délectèrent mutuellement, entre autres, de leurs tendres caresses et, bien sûr, de leurs philtres d’amour.
De sa nouvelle amie Catherine, Mai-Linh reçut une délivrance qui ouvrit pour elle de nouveaux horizons sur le plan sexuel. Pour sa part, Catherine put enfin obtenir les informations dont elle était en quête depuis sa toute première rencontre avec l’Asiatique.
(À venir: La Société des Dragons Rouges)