Vacances avec ma sœur (17) - Histoires de Sexe

Vacances avec ma sœur (17)

... celui qui me maîtrisait encore me releva. Même si lui non plus n’avait pas encore vu la scène, il m’interrogea.

— Comment avez-vous su ? me demanda-t-il calmement.

— J’ai reçu un appel. Elle devait avoir son téléphone dans son pantalon.

— D’accord. Mais vous auriez pu nous appeler au lieu de faire comme vous avez fait. Vous vous rendez compte de tous les risques que vous avez pris et que vous auriez pu faire prendre aux autres que vous auriez rencontrés sur la route.

— Je n’ai pas réfléchi.

— Ça se voit. Sinon vous auriez réfléchi à ce qui se serait passé si vous n’aviez pas pris l’avantage sur lui.

Les secours arrivèrent et prirent ma sœur en charge. Le policier qui me parlait m’éloigna davantage de la maison, comme s’il ne voulait pas que je voie ce qui était arrivé à ma sœur. Je vis aussi le partenaire de ma chérie se faire sortir de la maison, menottes aux poignets.

Compréhensifs, je ne fus pas poursuivi en justice malgré tous les délits que je dus commettre.

En arrivant à l’hôpital, je contactai les parents pour les informer de ce qui venait de se produire. Ils ne mirent pas longtemps à me rejoindre après avoir récupéré les enfants de ma sœur. Et là, je craquai.

— Tout ça c’est de ma faute ! dis-je.

— Tu n’y es pour rien, répondit mon père. C’est à cause de cet enfoiré que ta sœur est ici.

— C’est moi qui ai approuvé ce gars, avouai-je.

— Qu’est-ce que ça veut dire ? demanda ma mère qui ne comprenait rien à mes propos.

— J’ai ...

... choisi son partenaire pour que vous ne vous doutiez pas que nous sommes ensemble. Ça fait huit ans que nous sommes ensemble. Et les enfants sont de moi.

Les parents restèrent silencieux, ne sachant pas comment réagir à cette nouvelle.

— Nous reparlerons de ça plus tard, dit alors mon père après quelques minutes de silence.

Lorsque nous pûmes aller voir ma sœur, je ne me retins pas et je l’embrassai devant les parents, sans me soucier de leur présence. S’ils ne me croyaient pas, vu que ma sœur m’a rendu mon baiser, ils avaient plus de preuves de la véracité de ma confession.

— Je suis désolé mon amour, je leur ai tout dit, annonçai-je à ma sœur.

— Je ne t’en veux pas. Je m’attendais à ce qu’on leur dise un jour.

— Je leur ai dit aussi pour les enfants.

— D’accord mon chéri.

Plus tard, dans la journée, après avoir laissé ma sœur et les enfants se reposer, les parents sont revenus pour reparler de ce qu’ils venaient d’apprendre quelques heures auparavant. Ils ont préféré nous parler à tous les deux, donc c’est dans la chambre de ma sœur qu’a eu lieu la conversation.

— Avec votre père, nous avons longuement parlé de ce que vous nous avez avoué. Tout d’abord, sachez que cela ne change en rien pour les enfants. Nous les aimons toujours autant. Pour ce qui est de vous, cela risque de nous prendre un peu de temps pour nous y faire, mais si vous êtes heureux ensemble, nous acceptons votre relation. Par contre, si un jour tu lèves la main sur ta sœur, sache que ...