1. Vacances avec ma sœur (17)


    Datte: 10/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: pasdenom, Source: Xstory

    ... identiques à tous ceux que j’avais déjà trop entendus parvinrent à nouveau à mon oreille. Pas le temps d’éteindre la télé. Je prends mes clés et je descendis à ma voiture. Pas non plus le temps d’attendre l’ascenseur, donc je pris les escaliers pour aller plus vite.
    
    Peut-être étais-je encore porté par le film, car je fis une marche arrière digne des scènes de Fast and Furious. Un exploit que je n’ai jamais tenté de reproduire. Je démarrai ensuite à toute vitesse (sans pour autant déraper comme dans le film). Au lieu de rester à 50, je roulais déjà à 90. En arrivant au premier feu, il était déjà au vert donc je le franchis sans ralentir.
    
    Le second feu était au rouge. Vu l’heure, je ralentis à peine et le franchis en étant encore légèrement au-dessus de 70. Je fis de même avec les deux feux suivants. Le cinquième feu était lui aussi au rouge et une voiture y était arrêtée. Comme pour les précédents, je ralentis à peine et le franchis. C’est alors que je vis le gyrophare et la voiture démarrer à toute vitesse.
    
    Dans un moment de lucidité retrouvé, je commençai à ralentir pour expliquer la situation. Mais finalement, après un léger ralentissement, je considérais ces poursuivants comme une aubaine. J’accélérai davantage, franchissant maintenant les 120 km/h en pleine ville. Au lieu de ralentir, je klaxonnai à l’approche des feux.
    
    Une fois sorti de la ville, mes poursuivants semblèrent persévérants. Je roulais maintenant à près de 210 au lieu de 80. Moi qui respecte ...
    ... habituellement le code, je l’ai enfreint un nombre de fois incalculable durant ce trajet. N’étant pas un habitué des grandes vitesses, je ne me rendais pas compte d’être un vrai danger à ce moment-là. Pour moi, une seule chose comptait.
    
    Je n’entendais plus aucun bruit au téléphone. Je craignais le pire, ce qui n’arrangeait pas le nombre d’infractions que j’avais déjà commises.
    
    En arrivant devant chez ma sœur et son partenaire, je fus plaqué au sol sans ménagement.
    
    — Arrêtez, il va la tuer, dis-je en me débattant.
    
    Mais rien n’y faisait. Plus je tentais de me débattre, plus ils resserraient leur emprise. Je tentai une autre stratégie bien plus risquée. Mais qu’avais-je de plus à perdre ?
    
    — Bande de suceurs de bites, je vous dis qu’il va tuer ma sœur. Sacs à merde ! Putes à Macron !
    
    Il faut croire que les insultes ont marché pour l’un d’entre eux, mais pas pour les autres qui continuaient à essayer de me maîtriser. Celui qui faisait le tour de la maison a vu quelque chose et à soudain couru à la porte en essayant de l’ouvrir, ce qui intrigua ses autres collègues. Finalement, c’est en brisant une vitre qu’ils ont pénétré dans la maison. Et c’est à ce moment-là que je me suis calmé. Maintenant, quelqu’un s’occupait de ma sœur et ça me suffisait. En plus, ils étaient armés et pour l’avoir expérimenté, ils étaient bien entraînés.
    
    J’entendis l’un des policiers demander l’intervention des secours. Mais je n’avais toujours pas vu ma sœur. Sentant que je m’étais calmé, ...