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Séduction délicate de la soeur de ma mère (38)
Datte: 10/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... ma petite tatie préférée. La complimentai-je en examinant ses abdos musclés., — On croirait que tu découvres mon corps, c’est pas une nouveauté (mes lèvres s’appliquaient à lui faire des bisous sur son bas-ventre) hum-hum... j’aime ce que tu fais, mais ça me dérange un peu (tout en lui maintenant les hanches, je relevai la tête avec un air interrogatif) bah oui... j’avais ta maman au bout du fil toute à l’heure et ensuite, te voilà en train de me couvrir de baisers (elle se gratta le menton, visiblement en pleine réflexion) un coup je dis oui et un coup je dis non, tu dois me prendre pour une chiante. Insinua-t-elle en restant debout. — Mais non, ta réaction est normale (à regret, j’abandonnai son anatomie plaisante pour m’adosser au canapé) depuis plusieurs mois, vous ne vous êtes pas adressé la parole et patatras, ce soir tu discutes pendant une bonne demie heure avec ma mère et du coup, tu te sens honteuse vis-à-vis d’elle quand je te caresse ou que je te donne des baisers. Analysai-je en sortant une cigarette de mon paquet. — Je te déçois Patrick et je ne suis pas les conseils de la gynéco (elle s’infantilisait en prenant une petite voix et une moue boudeuse) euh... je vais mettre la table pour le petit-déjeuner le temps que tu finisses ta cigarette. Me souffla-t-elle découragée par sa propre attitude. Les évènements s’étaient enchaînés, trop vite à son goût. Véro était contrariée et se retrouvait dans l’impasse, tiraillée par ses remords éternels. Les ...
... recommandations de la toubib avaient retenu son attention, mais s’étaient aussitôt estompées suite au coup de fil de sa grande sœur. Un seul mot était omniprésent dans la pièce, le mot employé lors de sa visite médicale, la honte. Après avoir écrasé mon mégot, je ramenai le cendrier dans la cuisine, en remarquant au passage son pantalon, lequel était plié sur le plan de travail. Ma grande blonde avait disposé assiettes et couverts et il ne restait plus que les tasses à rajouter. Elle les plaça une à une sans se soucier de sa robe de chambre ouverte, tout comme sa veste. Une fois fini, elle me jeta un regard mi-figue mi-raisin et j’en profitai pour casser cette ambiance délétère. — Voilà une bonne chose de faite ! demain, les grands n’auront plus qu’à mettre les pieds sous la table et on va pouvoir aller se coucher. — Bah oui. Répondit-elle, blasée. — N’oublie pas ton pantalon comme hier (en s’en emparant, elle me décrocha un demi-sourire) ah si j’étais pas là, que ferais-tu sans moi. Plaisantai-je. — Mais tu es là et c’est tout ce qui compte pour moi (en mettant son pantalon sous le bras, elle s’aperçut qu’elle exhibait une bonne partie de son anatomie), mais où ai-je la tête ? Je me balade toute nue devant toi depuis que je suis partie du salon. S’étonna-t-elle en tirant sur l’un des pans de son peignoir. — N’en fais pas un drame et ce matin, t’étais bien à poil dans la cave avec moi. Lui lançai-je en m’apprêtant à partir. — Justement, à propos de ce matin, je ...