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Séduction délicate de la soeur de ma mère (38)
Datte: 10/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... qui compte pour nous, c’est ton bonheur, n’est-ce pas Michel ? — Oui, même si nous avions une autre idée de ta vie sentimentale... Se désola-t-il. Je ne pouvais pas les blâmer et ce que je vivais avec ma tante depuis près de trois ans dépassait l’entendement. Mes parents avaient été dignes sans m’adresser le moindre reproche et m’avaient fait presque pitié. Au moment de les quitter, je me sentais honteux d’entretenir une relation avec la maman de mes cousins. En rassemblant les valises, mon portable vibra. Véro m’avait envoyé un texto - ça se passe bien ? - Je tapotai rapidement - oui, j’ai demandé à ma mère qu’elle t’appelle, je t’expliquerai... -. Dans le train, je repensai à cette dernière phrase de mon père au sujet de ma vie sentimentale. Celle-ci s’était égarée, empruntant un chemin n’indiquant qu’une destination, un bonheur égoïste. Je m’étais passablement éloigné des standards d’une vie rêvée par mes parents. En principe, j’aurais dû rencontrer une nana de mon âge, me marier avec elle et lui faire un gosse, voire deux. A contrario, j’accusais un retard de près de dix-sept années et quelques mois avec celle qui partageait ma vie. Il m’était impossible de l’épouser et je lui avais donné néanmoins un enfant. Passons. Une fois la porte d’entrée franchie, les garçons se précipitèrent dans les bras de leur mère, laquelle s’empressa également de porter son petit dernier, notre fils Hugo. Jules raconta la vue imprenable du premier étage de la Tour Eiffel, puis il ...
... enchaîna sur la visite du musée Grévin. Oscar, l’ainé, énuméra les personnalités exposées et enfin, les deux réunis complimentèrent la bonne cuisine de Tatie Anne, alias ma mère. Après le dîner, les garçons demandèrent la permission de monter dans leurs chambres et une fois cette permission accordée, ils filèrent comme des flèches. Véro les accompagna pour coucher le petit, priant les deux grands au passage de rester calme et d’éteindre à 21 heures. Elle redescendit aussitôt, avide de connaître les échanges entre mes parents et moi. Elle ne s’était pas changée en conservant son jeans et son tee-shirt blanc. — Alors ? s’enquit-elle en tirant la chaise pour s’asseoir face à moi. — Alors rien... on ne s’est pas engueulés, c’est déjà pas mal (elle triturait sans cesse son rond de serviette et m’écoutait avec attention) on a parlé de tout, de rien et j’ai fini par demander à ma mère qu’elle t’appelle. — Et qu’est-ce qu’elle a dit ? — Mais Véronique, je t’ai envoyé un texto ! elle a accepté et elle le fera cette semaine ou la semaine suivante (elle se décida à plier sa serviette, puis se leva pour la ranger) bon, je suis épuisé nerveusement, on va aller se coucher ma grande. Lui suggérai-je. — C’est tôt ! je regarde la télé et après, je te rejoindrai... euh j’ai un peu mal dans le bas du ventre si tu vois ce que je veux dire, alors pas question de faire crac-crac ce soir et idem pour les jours suivants (je m’approchai pour la prendre par la taille en lui glissant un ...