1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (38)


    Datte: 10/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... coup en étirant ses bras pour me caresser le torse) oh oui... suce ma belle tatie... je t’aime (en l’appelant ainsi, elle me conserva bloqué au fond de sa gorge) oh nom de dieu... t’es ma reine (dorénavant, ses deux mains modelaient mes pectoraux) wouah quelle soirée ! Je t’adore Véronique, t’entends ? Je t’adore ! m’écriai-je en m’adossant au canapé, ivre de bonheur.
    
    — Pfff...(mon sexe luisant s’extirpa d’entre ses lèvres) bouh... tu m’en as dit des choses ! ah j’ai des crampes Patrick... aïe... je suis ankylosée, je suis restée trop longtemps à genoux. Grogna-t-elle en se mettant debout péniblement.
    
    Elle déplia son mètre 72 et attrapa aussi vite la veste de son pyjama. En vrai gentleman, je l’aidai à l’enfiler et une fois vêtue, elle tenta de remettre ses mèches derrière les oreilles. J’en profitai pour l’enlacer par la taille en lui déposant un bisou dans le cou. Nullement étonnée, elle me fit un smack avec des yeux pétillants, lesquels affichaient clairement ses sentiments. Sans détour, elle utilisa un vocabulaire peu approprié compte tenu de notre degré de filiation.
    
    — Patrick (elle posa ses doigts fins sur mes épaules et me dévisagea ouvertement) moi aussi je t’adore (elle inclina sa frimousse et me laissa lui rouler une pelle conséquente) j’ai jamais été aussi heureuse avec quelqu’un et je dois être drôlement amoureuse de toi (après un tel aveu, elle se blottit dans mes bras) roo... quand je pense à ce que tu m’as dit, je suis une merveille à regarder parce ...
    ... que je prends du plaisir à te sucer... j’ai un peu honte quand même. Soupira-t-elle en se serrant contre moi.
    
    — Tu voulais que je te compare. Lui dis-je en lui frottant le dos.
    
    — Oui enfin, de là à me dire que je te suce super bien, que je suis ta reine... t’aurais pu employer d’autres mots et en plus, tu m’encourages en m’appelant ta belle tatie, mais bon, tu m’as dit je t’aime, pff... je vais finir par croire ce que tu avais dit alors ! (elle appliqua son front contre le mien) on est peut-être fait l’un pour l’autre, qui sait ? me murmura-t-elle dans un silence religieux.
    
    — Pour moi, ça ne fait aucun doute (elle me caressa la nuque et frotta son bas-ventre contre le mien) Véronique, être avec toi, c’est une évidence pour moi. Lui confiai-je à mon tour.
    
    Nos déclarations mutuelles nous transcendèrent et s’achevèrent par une longue étreinte. Ma grande blonde m’apparut presque soulagée et me pressa de monter nous coucher. Elle fila dans la salle de bains, tandis que je m’étais allongé dans le lit. Nous venions de passer une soirée mémorable, mais quand elle réapparut, son attitude avait subitement changé. Je la soupçonnais à raison de ressasser le passé et quand elle se pencha pour plier sa chemise sur la chaise, je ne perdis pas une miette pour contempler sa paire de fesses et ses jambes fines. Dieu que cette femme pouvait me plaire, pensai-je sur le moment.
    
    En découvrant le drap, elle éprouva cette gêne quasi habituelle de se montrer nue devant moi et s’empressa ...
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