Nos amis amants
Datte: 29/08/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
pénétratio,
échange,
init,
Auteur: Mongil, Source: Revebebe
... les aimer comme nous le voulions. Et avec Claudine c’était aussi bien que je l’espérais…
— Avec Michel aussi c’était super…
À nos côtés, nous entendons Claudine :
— Tu n’es pas fâché que j’ai laissé François me suivre hier soir…
— Tu es folle, j’espère que cela a été aussi fort pour toi avec François que cela l’a été pour moi avec Nathalie.
— Tu ne peux pas savoir, j’ai joui comme jamais.
Durant ce court échange d’impression, nos couples enlacés ont retrouvé l’envie de l’autre. Les chattes se sont humidifiées tandis que les phallus ont repris vie.
Avec Nathalie, je me retrouve en 69, goûtant son sexe où se mêlent encore le jus de ses plaisirs passés et le sperme de notre ami tandis qu’elle trouve sur mon membre la cyprine de notre amie.
Comme ils nous ont imités, je vois le sexe de notre ami, que je découvre pour la première fois en érection, entre les lèvres de sa femme, tandis qu’il a la langue dans sa vulve. Comme nous, ils doivent y découvrir des effluves qu’ils ne connaissent pas !
Les filles, semble-t-il, trouvent un premier plaisir dans cette position avant que nous ne les retournions comme si nous en avions convenu pour les prendre par derrière accrochés à leurs hanches.
Leurs jouissances arrivent…
— Oh oui ! Oh oui !… Michel, dit Claudine, fais-moi jouir… C’est bonnnnn !
— Oui mon François, dit Nathalie, je viens… Oh ouiiiii !
C’est à ce moment que je regarde mon ami et lui dis :
— On échang ?
— Oh oui, j’ai encore envie de faire ...
... l’amour à Nathalie et je veux te voir baiser Claudine !
Changeant de monture, je vois le sexe long et droit de mon ami pénétrer la chatte de ma compagne qui a l’air d’apprécier. Mon gourdin pénètre, lui, sans difficulté, la fente humide de notre amie qui manifeste son plaisir…
— Oui François, enfonce-le moi bien profond, je te veux encore, c’est trop bon, toi après mon mari, ça va être encore meilleur !
En couples inversés, nous reprenons, Michel et moi, le pilonnage de nos maîtresses. Nous sommes tous quatre sur le chemin de la jouissance, lorsque par la porte-fenêtre qui n’a pas de rideaux, j’aperçois la mère de Claudine en peignoir. Heureusement, dans la position où nous sommes, il n’y a que moi qui peux la voir. Je vois son peignoir qui est ouvert sur un corps magnifique pour son âge (la soixantaine je crois), et une main qui se glisse entre ses cuisses. Nos regards se croisent, elle ne se détourne pas et nous restons les yeux dans les yeux tandis que j’entends aux souffles de mes partenaires sexuels que la libération est proche, moi-même, je sens la sève monter dans ma tige. Les cris de plaisirs se succèdent…
— Ah ! Ahhhh ! C’est bon, crie Michel en éjaculant.
— Ouiiiii ! Crie Nathalie. Donne-moi ton foutre ! Ouiiii !
Je n’en peux plus de me retenir et gicle mon sperme toujours les yeux dans les yeux de la mère qui doit imaginer que ce n’est pas sa main qui lui donne du plaisir mais le sexe qui va-et-vient dans le con de sa fille. Je vois sur son visage les ...