Nos amis amants - Histoires de Sexe

Nos amis amants

... d’amour, recueille la délicieuse liqueur que je déguste avec plaisir. Puis, je remonte et titille le bouton, saillant, pointant fièrement hors de son capuchon. Mes mains caressent sa poitrine et son ventre dont les contractions sont de plus en plus fortes au fur et à mesure que son plaisir grandit. Soudain, ses mains plaquent mon visage contre sa chatte, son corps se tend et, dans un râle, elle jouit, m’arrosant copieusement. Je me régale de son jus d’amour puis sa sensibilité exacerbée. Elle me repousse.

Je m’allonge à ses côtés, elle a les yeux fermés, de fines gouttelettes de sueur perlent sur son front et son visage, le souffle un peu court. Elle reste ainsi quelques minutes, savourant son orgasme, reprenant lentement conscience. Elle tourne la tête vers moi, un large sourire éclairant son visage :

— Il y a longtemps que je n’avais pas joui comme ça ! Maintenant, je veux sentir ta queue en moi… viens !
— J’en ai envie depuis longtemps de faire l’amour avec toi…
— Alors viens vite, je veux que ton gros sexe me pilonne… parfois j’en ai rêvé !

Je ne me fais pas prier et pénètre sa chatte velue, quel bonheur de prendre possession pour la première fois d’une femme désirée.

— Oh oui, tu me remplis bien, c’est bon, fais-moi jouir !

Je sens son corps venir à la rencontre du mien, nous voulons tous deux le plaisir, mais je veux faire durer… lorsqu’elle jouit, je me retiens, ralentissant mes va— et— vient. Puis, je la retourne pour la prendre en levrette, ...

... caressant ses seins, ou titillant son bouton d’amour. Mais je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir encore longtemps, elle doit le ressentir aussi…

— Viens ! Jouis ! Viens ! s’écrie-t-elle.
— Oh oui ! Oh ouiiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Putain, c’est bon…

Elle a un orgasme puissant et, accroché à ses hanches, je gicle mon foutre au fond de son vagin en longues saccades.

— Oh ! Bon dieu ! Claudine, que c’était fort !
— Oui François, je t’aime, j’aime ton gros dard !

Nous restons un moment enlacés, effondrés sur le côté, moi derrière elle, nos sexes toujours réunis, nous sombrons dans le sommeil.

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Dans le salon, Nathalie s’est dévêtue, puis elle déshabille Michel, faisant rapidement voler chemise, pantalon et boxer. Tandis que sa bouche couvre son torse et son ventre de doux bisous, ses doigts se posent sur son sexe et le caressent, un peu comme pour faire sa connaissance, effleurant la hampe, titillant le méat, frôlant les bourses. Lentement, son visage descend sur son ventre jusqu’à atteindre les premiers poils pubiens. Alors, tenant son sexe bien droit, elle passe la langue dessus, léchant la tige sur toute sa longueur avant de remonter sur le gland et s’y attarder, l’agaçant fort agréablement. Enfin, ses lèvres s’ouvrent un peu plus et, lentement, elle l’avale. Michel voit son membre coulisser et pénétrer cette bouche si douce et cette vision le fait durcir encore un peu plus.

Nathalie lui offre une fellation comme il y a bien longtemps qu’il n’en a ...