Reconnue !
Datte: 08/12/2022,
Catégories:
grp,
couple,
couplus,
candaul,
boitenuit,
hdomine,
Oral
69,
double,
hsodo,
Partouze / Groupe
attache,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... punition. Paul à suivi. Il a l’air de savoir quoi faire.
— Vous croyez qu’ils vont… ? me dit mon voisin.
Oui ils vont. On voit Luc venir prendre la femme en fléchissant les genoux. Son mandrin glisse dans une fente déjà toute acquise. Amélie est face à moi. Je vois sur son visage la puissance de la possession. Luc la soulève comme une plume. En panique, elle croise ses jambes autour de la taille de l’homme alors qu’il la maintient contre lui. Elle est en lévitation. Paul, pour qui c’est une évidence que ce n’est pas sa première fois, à sa façon de se comporter, se place derrière le couple et, après avoir enfilé une capote, vient présenter son mandrin vers un orifice que je ne peux que deviner. Il se colle à eux. Luc parle à la femelle. Que lui dit-il ? Que son complice va la prendre aussi ? Il lui demande si son petit trou est ouvert ? En tout cas la réponse est positive vu le hochement de tête.
Alors Paul l’enfile. Je suis bien placée pour savoir que son engin est gros et que de le laisser mettre dans le cul demande une bonne pratique.
Amélie gémit. Elle semble faiblir. Pourtant la voici chevillée sur deux mandrins que j’ai connus mais pas en même temps.
— C’est beau. Approchons, vous voulez bien ?
Mon voisin m’entraîne. Un fauteuil nous sépare du trio qui ondule. L’homme s’est placé derrière moi.
— Regardez comme elle semble heureuse.
Il me parle à l’oreille. Il se colle à moi. Je sens son sexe durci contre mes fesses.
— Je suis tout excité. Pas ...
... vous ?
Il me parle, mais aussi ses lèvres me caressent le cou, la nuque. Comme je ne me refuse pas, ni en m’éloignant, ni par la parole, il devient plus intrusif. Ses mains me caressent, d’abord à travers mon chemisier, mais bien vite ses doigts habiles trouvent les boutons qui lui donnent accès à ma poitrine. Je ne peux retenir un soupir avec un « Mummmm » qui l’encourage.
C’est bon. Sa main ferme, sur ma nuque, m’invite à me pencher en avant. Le dossier du fauteuil est un appui confortable. Je suis à moins de deux mètres du trio qui s’active avec des soupirs qui remplissent la pièce. Un miroir, au fond de la chambre, me montre que d’autres voyeurs sont entrés et sont derrière nous. Luc me tourne le dos et j’ai une vue magnifique sur ses fesses sombres avec les muscles qui roulent sous la peau alors qu’il baise sa proie. Elle, est de face, mais je ne vois pratiquement que ses jambes qui forment un lien, taches blanche sur la peau d’albâtre. Ce que je vois, c’est son visage. J’en vois chaque soupir sortir de ses lèvres, ses paupières battent, son regard se trouble. Et, derrière elle, de face pour moi, j’aperçois mon mari. Un mari bien posé sur ses jambes mais dont je devine le mouvement du bassin alors qu’il pousse son dard dans le cul de la femelle.
Il encule Amélie, mais garde tout de même un regard sur moi. Il m’a vue approcher, littéralement propulsée par un inconnu. Il me voit, le chemisier ouvert, penchée en avant, alors que l’inconnu qui s’est littéralement ...