Reconnue !
Datte: 08/12/2022,
Catégories:
grp,
couple,
couplus,
candaul,
boitenuit,
hdomine,
Oral
69,
double,
hsodo,
Partouze / Groupe
attache,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... qui se libère à chaque minute.
On monte. Dans mon esprit, et probablement pour Paul aussi, ces marches rappellent des souvenirs. En effet, la porte est ouverte. Déjà un homme regarde. Ce qu’il voit, nous le découvrons, c’est une femme nue qui suce un beau black, lui aussi dans le plus simple appareil. Elle le suce avec gourmandise, c’est une sucette longue et belle, une sucette qu’il faut bien enduire de salive, mais qui ne risque pas de fondre si ce n’est en lui faisant cracher son jus. Elle n’en est pas là. Elle en est à la découverte. Amélie n’est pas une débutante. Elle n’est pas si vieille, 25 ans peut-être, mais a dû en voir pas mal. Cela se voit à sa façon de le prendre en bouche, de le branler doucement, de le lécher en descendant jusqu’aux belles couilles qu’elle gobe et même d’oser pousser plus loin et probablement jouer de sa langue vers le petit trou de l’homme.
L’homme, Luc, lui tend une capote. Elle la déroule lentement, faisant durer le plaisir avec un sourire coquin. Luc la guide pour s’installer sur le lit, la croupe bien en vue. La suite est une évidence, mais une évidence qui, même répétée et renouvelée maintes fois, est toujours un spectacle magnifique. La position pourrait paraître vulgaire, bestiale et pourtant la levrette est jouissive, autant pour l’homme qui domine et peut voir son mandrin disparaître dans la fente ou le cul de la femelle, que pour la femme qui, en se penchant et bougeant, trouve les bonnes sensations.
Il l’enfile d’un ...
... mouvement régulier. Luc a le sens du spectacle. Ils se sont placés de profil afin que les voyeurs puissent contempler à leur guise. Il nous voit.
— Viens Paul. Tu dois bien avoir un ou deux PV à rattraper !
Paul me regarde, comme s’il me demandait la permission, et me quitte. En deux temps trois mouvements, il se déshabille. Du temps que Luc utilise pour bien embrocher la fliquette en commençant à la bourrer puissamment. C’est vers la bouche que mon mari guide son braquemard. Il bande déjà. La fliquette n’est pas déçue du cadeau. Son expérience lui sert pour accepter un tel bijou.
C’est à la fois beau, dérangeant et excitant. Je me revois la semaine dernière. Position différente, mais sur le même principe. Deux belles bites pour soi. C’est juste que l’arrivée de la police a stoppé notre rencontre. Mais pas de police ce soir ou, plus exactement, la police est déjà là, mais incognito, plus femelle que fliquette.
— C’est beau, n’est-ce pas ?
À côté de moi, le voyeur déjà présent à notre arrivée me parle. Je ne peux que confirmer par un « Oui » murmuré. Mais Luc bouge. Il fait se lever Amélie qui le suit. Deux pas à côté du lit et il lui lève un bras pour atteindre une paire de menottes à laquelle il l’attache. Il lui parle à l’oreille tout en continuant de l’immobiliser. Elle sourit. J’imagine qu’il lui parle de se « venger ». Amélie n’a pas l’air inquiète. Pas plus inquiète lorsqu’il lui donne quelques claques sur les fesses qui paraissent plus un prétexte qu’une vraie ...