Reconnue !
Datte: 08/12/2022,
Catégories:
grp,
couple,
couplus,
candaul,
boitenuit,
hdomine,
Oral
69,
double,
hsodo,
Partouze / Groupe
attache,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... alors que je m’empale sur la bite de mon mari. Elle mérite bien son nom, on pourrait y attacher un bateau et les putes du port y trouveraient de quoi bien se remplir.
Mon mari m’encourage. Il place ses mains sous mes fesses pour accompagner mes mouvements. Putain que c’est bon. Il est gros. À nouveau, je constate que de se faire enculer fait grossir son engin…
Ce n’est pas bien de dire ce mot, c’est grossier.(Encore la petite voix).
Ta gueule ! Je pense. Ne viens pas gâcher mon plaisir. C’est trop bon. S’il faut que j’encule mon mari pour qu’il me revienne, alors je le ferai. En plus, c’est super excitant. Tu ferais mieux de me montrer les images de tout à l’heure, tu sais, son visage, ses cris, ses petits couinements alors que Luc l’enculait profond… Oui comme ça…
S’il faut, je lui achèterai un gode ceinture avec une grosse bite noire…
Ou, inviter son amant à la maison… Je pourrais en profiter aussi…
Et… Ohhhhh ! Il jouit. Il m’inonde. C’est autrement meilleur avec son foutre, plutôt qu’une capote.
Je viens… Je viens…
Il me prend dans ses bras. La jouissance a laissé la place à une sorte de tendresse. Il m’embrasse. Un baiser comme cela faisait longtemps que nous n’en avions plus échangé.
— Merci, ma chérie. Merci de me pardonner et de comprendre.
— Merci à toi aussi.
Il me prend dans ses bras.
— On est bien, hein ?
— Oui.
Et, quelques secondes plus tard, j’entends sa respiration régulière. Je gamberge un peu. De quoi notre avenir, notre ...
... sexualité, seront-ils faits ?
Le réveil est étrange. On dit que les choses paraissent plus claires à la lumière du jour, mais, dans mon cas, je suis dans une incertitude étrange. J’ai bien l’impression que c’est la même chose pour Paul. Nous nous sourions, mais chacun doit se demander si tout ce qui s’est passé, au Manoir et plus tard à la maison, a vraiment été « intégré ». Je prétexte d’aller faire quelques courses pour me permettre de réfléchir. On fait quoi maintenant ?
Faire comme si rien ne s’était passé et chacun reprend son chemin en s’arrangeant peut-être pour que les chemins ne se croisent pas ? Impossible, bien sûr.
Abandonner nos visites au Manoir et pour Paul sa relation avec Luc ? Alors, dans ce cas, mon mari va-t-il se contenter de son épouse, même si elle essaye de satisfaire les besoins qu’une longue pratique avec Luc a déclenchés.
Assumer nos envies, chacun de notre côté au Manoir, peut-être s’y retrouver pour les revivre, mais alors en pleine connaissance de cause ?
Je n’arrive pas à me décider. Pourtant, il va bien falloir qu’on aborde le sujet. Peut-être que Paul a trouvé une solution.
J’entre et, au même moment, mon téléphone sonne. Je réponds, bien que le numéro ne soit pas reconnu.
— Oui ?
— Bonjour.
Un silence.
— Je suis Amélie. On s’est vues hier soir.
Je réalise que c’est la fliquette. Elle n’a pas perdu de temps. Cela fait moins de 24 heures. Elle continue :
— Ça va ? Le retour n’a pas été trop dur avec votre mari ...