1. Reconnue !


    Datte: 08/12/2022, Catégories: grp, couple, couplus, candaul, boitenuit, hdomine, Oral 69, double, hsodo, Partouze / Groupe attache, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... nuit porte conseil.
    — Tu as raison. Dormons.
    
    Un long silence. Je cherche le sommeil, mais tout se bouscule. Paul m’a appris tant de choses sur sa nouvelle sexualité. Quelle est ma place, maintenant, dans tout cela ?
    
    Au plafond, je vois égrainer les minutes du réveil qui projette l’heure. Dix, puis vingt, puis trente. À côté, j’entends la respiration de Paul. Lui aussi doit avoir du mal à s’endormir.
    
    — Tu dors ? je lui demande.
    — Non, j’ai du mal.
    
    Une idée me traverse l’esprit. Pour trouver le sommeil tout le monde sait ce qu’il faut faire. Je me lève.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ?
    — Rien, tu vas voir.
    
    Le « tu vas voir » est une façon de parler, car c’est à tâtons que j’ouvre un tiroir de ma table de nuit. Je remonte sur le lit, mais me glisse vers lui. Je tire le drap qui couvre sa nudité. Paul dort toujours nu. À tâtons, je cherche son sexe.
    
    — Anne, tu fais quoi ?
    — Un remède contre l’insomnie.
    
    Je le trouve, pauvre petite chose flasque. Une image m’éblouit. Celle de sa queue bien grosse, il n’y a pas bien longtemps. Entre mes lèvres, elle se déploie. Paul écarte ses cuisses, soulève son bassin. Ma bouche a du mal à garder le gland monstrueux.
    
    Je me soulève. Gardant le gland, je tourne sur lui pour me mettre en 69. Ma fente trouve ses lèvres. Ses mains s’emparent de mes fesses pour me guider. Il me lèche. Je le suce. 69 bien banal, mais qui revient de loin. Il y a bien longtemps que nous ne l’avions pas fait. Je gronde de ses caresses. S’il sait ...
    ... maintenant sucer une bite, il a toujours su me lécher. Je gronde et lui aussi. C’est bon.
    
    Mais après quelques secondes, j’abandonne son mandrin pour en sucer un autre. Le gode que j’ai pris dans la table de nuit est celui que nous utilisons, utilisions serait plus juste, parfois. Je l’enduis de salive.
    
    Je reprends la bite, mais place maintenant le gode vers son petit trou. Dès qu’il sent ce qui se présente, il demande :
    
    — Anne, qu’est-ce que tu…
    — Chut, occupe-toi de moi.
    
    Je pousse le jouet. Tout en l’introduisant, je me dis que ce n’est peut-être pas la première fois qu’il visite ce passage. Moi-même, au début de mes sodomies, il m’arrivait de « m’entraîner » pour familiariser mon anus à se faire plus conciliant. Mon mari a peut-être fait la même chose.
    
    Je pousse. Paul arrête de me lécher. Je sens qu’il soulève un peu son bassin pour me laisser plus de place. L’engin avance en pays conquis. Son cul est ouvert pour lui. Déjà, il est au fond.
    
    Je le bouge. Lentement, je simule une possession. J’appuie sur le bouton qui déclenche les vibrations. À travers la bite, que j’ai reprise en bouche, je sens les vibrations du gode. Paul a recommencé à me caresser. Ses mains s’occupent maintenant de mes seins. Mais je veux plus.
    
    D’un bond, je me lève et vais me placer pour le chevaucher, lui tournant le dos. Ma fente est humide et d’un mouvement, je me pénètre du gros bâton. Je me pénètre et m’active dessus. En même temps, je bouge le gode. En cadence, je le pousse ...
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