1. La nuit de Christine


    Datte: 07/12/2022, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral fdanus, jouet, sm, attache, fouetfesse, piquepince, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... heurai ! Houi ! Hou heu heu hou houhez…
    
    Tu reprends docilement ton travail de nettoyage. Je relâche les pinces ; soupirs de soulagement… Tu t’actives consciencieusement, toute l’intimité de Diane va briller comme un sou neuf.
    
    J’en profite pour me déshabiller, me libérer du corsage, du corsaire, du soutien-gorge, des collants, nue, enfin ! Mon sexe est gonflé de désir, mes seins sont lourds, mes tétons durcis, mon clito pointe son nez, ma fente laisse perler une goutte visqueuse sur mes festons rose vif. Diane passe une langue impatiente sur ses lèvres. Je presse sur mon capuchon pour exhiber le bouton. J’ai le ventre en feu. Diane se redresse, quitte son chemisier, abandonne ta bouche et vient contre moi. Elle masse délicatement ma vulve brûlante avec sa main en conque. Oh, que c’est bon ! Nous nous embrassons à pleine bouche, mêlant nos langues et nos salives.
    
    Je te regarde. Tu ondules des hanches, croisant et décroisant tes jambes dans le vain espoir de te soulager du feu qui dévore ton bas-ventre, tes seins se soulèvent spasmodiquement, tes mains toujours liées aux pieds de la table s’ouvrent et se ferment, tu dodelines de la tête, les joues luisantes des sécrétions que Diane y a laissées.
    
    À mon tour, je porte les doigts à sa source. La chatte est ouverte, profonde, onctueuse, crémeuse. Tu n’as pas dû t’ennuyer en lapant ce nectar. Tu as bien travaillé finalement, tu mérites une récompense, un peu de douceur. Nous écartons doucement tes jambes pour exposer à ...
    ... nouveau ton sexe à nos regards. Des frissons le parcourent ; une bave un peu sanguinolente le baigne.
    
    — Encore un peu de vinaigre sur cette moule douteuse ? suggère Diane.
    
    J’en ai bien envie, mais ce serait exagérer ; il ne faut pas dépasser la mesure. Tu ne réagis plus, trop épuisée pour supplier, pantelante, ivre de douleur. Diane se place face à toi. Je l’aide à enlever son soutien-gorge, ses seins sont aussi bronzés que le reste de son corps. Elle se couche sur toi, sa peau caresse la tienne. Son ventre se presse contre le tien, ses seins épousent les tiens. Ses doigts caressent tes cheveux, ses mains soulèvent ta nuque. Sa bouche papillonne sur ton front, ton nez, tes yeux, tes lèvres, ton menton, tes joues, tes lobes d’oreille. Sa langue lèche ton visage, recueillant le liquide brillant qui le barbouille.
    
    Elle a collé sa minette sur la tienne. Vos clitoris se chatouillent. Ses fesses me regardent, offrant leur sillon profond. Ses cuisses ont écarté les tiennes, vos jambes se caressent, vos pieds se mêlent. Diane ouvre son cul d’une main et tourne la tête vers moi, provocante. Elle m’exhibe sa mangue et sa rosette.
    
    Le tableau est merveilleux. Tes fesses au bord de la table, tes jambes pendantes, tu ouvres ta mounine gonflée et martyrisée en accueillant entre tes cuisses celles de Diane. Elle-même a le cul relevé, les genoux bien écartés, la fente bien dégagée, dévoilant ses lèvres rosées et son anus foncé. Ses poils assez fournis sont longs. Ils touchent les ...
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