La nuit de Christine
Datte: 07/12/2022,
Catégories:
fff,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
fdanus,
jouet,
sm,
attache,
fouetfesse,
piquepince,
lettre,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Ma chère Christine,
Conformément à ton désir caché, je t’ai présentée à une amie dont je connais les goûts. Elle est blonde, cheveux mi-longs, des yeux verts, très BCBG en apparence. Elle se prénomme Diane. Nous venons de terminer un repas sympathique, et un peu arrosé, pas trop, juste assez pour permettre une conversation libre et détendue où tu as avoué à demi-mot et en rosissant ton fantasme d’exhibitionnisme ; moi je sais, ma chérie, et plus encore, mais je n’ai rien ajouté. J’ai simplement dit, en plaisantant, « chiche ! » Mais tu hésites, tu n’oses pas.
Diane s’est installée dans un fauteuil, sirotant une liqueur. Elle porte un jean moulant qui met en valeur ses fesses, si étroit qu’elle semble n’avoir pas de culotte. Pourtant, on voit son soutien-gorge sous le chemisier léger. La conversation vient sur le sujet. Chacune donne son sentiment, ses habitudes. Je professe ma préférence pour les collants, en hiver, bien plus confortables sous un pantalon. Diane s’amuse :
— Si j’ai une culotte ? Devinez ! Et toi, Christine, as-tu un slip ?
— Ben oui, vous êtes bêtes !
— Jolie culotte ? réplique Diane. Tu me montres ?
— Oh non !
Nous rions.
— Pudique, va !
On parle d’autre chose… Disque, musique, nous décidons de bouger un peu et commençons à danser. Par jeu, je te prends la main, te fais tourner, t’enlace, te serre un peu contre moi… Nous nous déplaçons, et te voilà le dos tourné vers Diane, tout près d’elle…
— Dis-moi, Diane, tu ne voulais pas ...
... voir sa culotte, tout à l’heure ?
Je soulève le pan de ta robe ample et découvre ton fessier. Rire de Diane, tu réagis, mais trop tard : elle a posé sa main.
— Ha ! Ha ! Ha ! C’est vrai, elle a un slip noir, très sexy.
Tu veux l’arrêter, mais j’emprisonne tes mains. Alors, sans se gêner, Diane fait légèrement descendre ta culotte. Tu rougis, tu caches ta figure contre moi.
Je sens tes seins se soulever et te serre un peu plus fort ; tu ne peux plus bouger. Diane fait une pause. Pour être à l’aise, elle remonte ta robe qui immobilise tes bras. Tu es là, dans l’incapacité de te dégager, peut- être sans la volonté de le faire. Ta culotte est baissée sur le haut de tes fesses. Diane les contemple et dit un peu méchamment :
— Eh bien, dis-moi, Christine, on comprend pourquoi tu es toujours en jupe large… Quel popotin !
Elle le tapote ironiquement. Je sens presque concrètement la chaleur qui rougit tes joues. Puis elle passe ses doigts sous l’élastique et finit de te déculotter, donnant au passage une petite claque sur tes fesses rebondies.
— Alors, Christine, tu te sens plus à l’aise comme ça ?
Doux euphémisme… Puis elle me demande de lui montrer si l’endroit vaut l’envers. Je te retourne face à elle, ta robe toujours troussée, le ventre exposé, ta culotte à mi-cuisses. Diane la fait descendre sur tes pieds ; tu es nue du buste aux chevilles. Elle détaille complaisamment ta chevrette, tu t’en doutes !
Elle te débarrasse ensuite de ce petit bout de soie ...