1. La nuit de Christine


    Datte: 07/12/2022, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral fdanus, jouet, sm, attache, fouetfesse, piquepince, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tu te plains. Puisque c’est comme ça, on va mieux s’occuper de toi.
    
    Nous nous écartons, te laissant baigner dans ton jus, ce qui est peu dire, car au jus acide s’est jointe une autre sorte de suc qui épaissit le mélange. Bref conciliabule, à voix basse, tu n’entends pas, tu ne sais pas ce qu’il va se passer. Nue, écartelée, exposée et offerte, tu ne peux voir qu’en levant la tête, mais c’est fatigant.
    
    Je défais le ceinturon qui orne ma taille (tu m’avais demandé pourquoi je mettais ça, tu trouvais vulgaire ; tu comprends maintenant pourquoi, je suppose…). Je l’agite comme un fouet, je le fais glisser sur ta peau, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, entre elles… Tu trembles.
    
    — Attends, Annie, s’écrit Diane, je vais agrémenter la chose.
    
    Elle prend une épingle et piquette tes grosses mamelles, juste pour les rendre un peu plus sensibles… Quelques gouttes de sang perlent. Ça égaye la pâleur de ta peau, ma chérie. Diane pince tes tétons, les étire, les roule, les allonge, avant d’y poser des pinces à dessin. Ça fait beaucoup, beaucoup, plus mal que les pinces à linge, n’est-ce pas, Christine ?
    
    — Voilà, tu es prête ma chérie, se moque-t-elle. Tu as gagné le droit de savoir : dix coups de ceinture pour commencer, un peu partout, au hasard, pour se chauffer la main… Vas-y, Annie !
    
    Diane est très excitée. Elle ôte son jean : pas de culotte, nous avons la réponse à sa devinette de tout à l’heure. Sa chatte est près de ta figure, elle mouille. Elle non ...
    ... plus ne doit pas être très nette, car on sent un peu son odeur intime. Elle se branle du bout du doigt en me regardant viser délibérément tes seins et les affliger de flagellations dont chacune t’arrache un gémissement de douleur : les coups qui font bouger les pinces sur tes tétons en augmentent les effets.
    
    Diane m’arrête :
    
    — Sa chatte va être jalouse ; ne l’oublie pas.
    
    Mais ta position ne facilite pas l’accès commode à ta fente. Je détache tes chevilles et Diane les attrape. Elle tire tes jambes en arrière, courbant ton corps et présentant ton gros cul, fesses hautes, cuisses écartées, chatte et anus béants. Pour être plus efficace, elle coince tes talons sous tes aisselles et force sur la peau de tes cuisses pour élargir encore plus ta fente. Dans cette position, ses cuisses enserrent ton visage, sa figue odorante au-dessus de ton nez, ses longs poils clairs chatouillant ta bouche. Si tu ouvres les yeux, tu vois ses lèvres et son petit trou.
    
    Comme elle, je me délecte du spectacle de ton corail ouvert, suintant, de tes lèvres gonflées, de ton méat irrité, de ton bouton rougi, de tout ton sexe excité. Les gouttes de vinaigre ne se distinguent plus des perles de ta liqueur qui coulent doucement vers ton œillet froncé, palpitant et fripé, que les doigts de Diane ouvrent et ferment. Mes doigts, eux, prennent tes poils drus, deux par deux, et les arrachent, au bord de tes lèvres, au-dessus du clitoris, autour de ta rosette, pour ajouter à l’irritation de ton intimité ...
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