Une mère pas comme les autres... (15) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (15)

Maman, encore une fois, était tout simplement bandante.

Comment une femme pouvait-elle atteindre ce degré de sex-appeal de façon si naturelle et l’avoir à ce point négligé tout en le cachant si facilement à son entourage, surtout à celui qui partage sa maison depuis toujours ?

Maman avait fait voler, en une semaine, tous les tabous, les non-dits, les valeurs qu’elle m’avait inculquées en retrouvant, par la grâce merveilleuse d’une mise en veille sensible de mon ordinateur, sa véritable personnalité faite uniquement pour le plaisir et le désir.

Elle sortait d’une douche crapuleuse avec ma copine durant laquelle, pour la première fois, elle lui avait caressé les seins, la chatte et avait posé ses lèvres sur les siennes, caché de cette dernière par la grâce voilée de la buée sur la paroi vitrée mais attentif à chaque détail.

Le ballet de leur langue se découvrant restera à jamais gravé dans ma mémoire. J’ai vécu lors de ce moment de voyeurisme torride ce qui est certainement l’acmé, le zénith, le sommet de ma vie érotique depuis mes premières découvertes de la masturbation. Voir les deux femmes que l’on aime le plus se donner du plaisir est un moment inouï et qui restera, dans les moindres détails, gravé dans mes souvenirs.

Anaïs, soumise aux désirs comme aux caresses de ma mère, s’était envolée, pour la première fois de sa vie, vers un orgasme provoqué par une personne de son sexe. Elle avait basculé dans une autre dimension sexuelle dans laquelle aucune limite ...

... ne serait inaccessible et dans laquelle tout était envisageable.

Je la revoyais, posant pour la première fois ses mains sur des seins qui ne lui appartenaient pas. En caresser les contours, en titiller les tétons, en posant la langue sur cette petite colonne de chair rose et la prendre entre ses lèvres pour la téter lentement, en fixant ma mère dans les yeux. Sa main caressant le jumeau dont elle s’occupait.

Maman, de son côté, posant une main sur ses cheveux pour presser sa bouche contre son sein et en ressentir les effets avec plus de force, tandis que son autre main passait sur sa propre chatte, faisant grandir son plaisir entre ses reins.

L’eau coulant sur ces corps leur donnant cet aspect si propice au sexe, les gouttes se nichant, coquines, dans ces endroits particulièrement excitants comme le sillon des seins ou les épaules, la croupe ou les fesses.

Ces deux femmes m’avaient échauffé les sens et, faire appel à ce souvenir récent, me mettait dans un état d’excitation incroyable. Les perspectives semblaient, à présent, infinies. Et ce n’était ni pour me déplaire, ni pour me rassurer. J’allais au-devant d’un problème majeur double pour les hommes.

La résistance et l’endurance !

Mais j’y penserai à un autre moment car, comme je le disais, elles venaient de me rejoindre sur la terrasse.

Ainsi, Maman était vêtue d’une robe anthracite dont le bustier, entièrement transparent, permettait de détailler le soutien-gorge splendide qu’elle portait. Ses seins, ...