1. La jupe (1)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: Transexuels Auteur: trolive, Source: Xstory

    ... difficile de rester en slip devant les copines de ma copine (;)) aussi me proposa-t-elle d’essayer de mettre un de ses pantalons... qui n’était évidemment pas à ma taille.
    
    — Mets ma jupe, me dit-elle.
    
    — tu déconnes ? là ! lui répondis-je en la regardant dubitativement.
    
    — Ben non, elle a une taille élastique, elle t’ira, rétorqua-t-elle sérieusement en fouillant dans son sac et en me la tendant.
    
    Une jupe simple, droite, de couleurs noires et arrivant juste au-dessus des genoux me fut donc tendue et je l’enfilai.
    
    — Tu vois, elle te va ! lança-t-elle souriante.
    
    Je passais toute la fin d’après-midi en jupe et nous cuisinâmes pour nos amies qui devaient arriver vers 20h. Le fait d’être en jupe me plaisait, c’était une sensation diffuse, difficile à décrire, je me sentais bien et à l’aise.
    
    Les trois copines arrivèrent à l’heure convenue et marquèrent un temps d’arrêt en m’apercevant vêtu ainsi...
    
    — Ce gros bêta a oublié son "fûte" de rechange chez lui et n’avait plus rien à se mettre. En revenant du lycée, il s’est pris l’averse et était complètement trempé, j’ai dû lui passer ma jupe, expliqua Babeth, mi-amusée mi-sérieuse.
    
    Je vis et sentis que, quelque part, les 3 copines furent rassurées... ce n’était pas un jeu bizarrement pervers ou je ne sais quoi... j’étais quasi sûr qu’elles avaient pensé à un truc de ce genre-là, ce qui n’empêcha pas l’une d’entre elles de dire :
    
    — ah... mais ça lui va bien.
    
    Je fis attention au cours de la soirée à ...
    ... adopter des poses correctes, ne pas s’asseoir les jambes écartées par exemple !!
    
    La soirée se passa bien, nous papotâmes de choses et d’autres comme d’habitude, puis vint l’heure pour elles de nous quitter.
    
    Une fois la porte refermée, Elisabeth me regarda et me dit :
    
    — C’est vrai que ça te va bien...
    
    Nous nous prîmes par la taille et nous embrassâmes langoureusement, nos langues s’entremêlaient pendant que nos mains partirent vers nos fesses et nous nous caressâmes.
    
    — Viens, j’ai envie, me chuchota Babeth en me prenant la main et en m’entraînant vers le lit.
    
    Elle retira son pull, déboutonna son jean, le baissa et m’apparut en soutif et culotte... je voulus faire de même, enlever mes vêtements.
    
    — Non, garde-la...
    
    — hein ?
    
    — garde la jupe... viens..., dit-elle en baissant sa culotte et en s’allongeant sur le lit.
    
    Je m’allongeais sur elle, l’embrassais à pleine bouche, lui mordillais les lobes d’oreille et le cou. Je bandais. Babeth me rendait mes baisers, me caressait les fesses. Puis mes lèvres descendirent vers ses seins aux tétons érigés. Je les pris en bouche, les suçant, les aspirant et les mordillant légèrement. Je sentais son cœur battre plus fort, Babeth gémissait doucement puis de ses mains, elle me poussa vers son ventre, vers son sexe.
    
    — lèche-moi... lèche-moi... lèche-moi, répéta-t-elle.
    
    Je sentais ses mains qui m’appuyaient sur l’arrière de la tête quand ma bouche se posa sur sa fente. Mon Dieu, qu’elle était trempée, rarement je ne ...