La jupe (1)
Datte: 06/12/2022,
Catégories:
Transexuels
Auteur: trolive, Source: Xstory
Nous étions en Terminale et avions un petit logement dans un vieil immeuble à proximité relatif de notre lycée. Nous, c’est-à-dire, ma copine Elisabeth et moi même. J’étais fou amoureux d’elle et j’imagine la réciproque vraie. Babeth est assez grande, de taille fine, un visage d’ange aux cheveux blonds, de petits seins dodus et fermes, un ventre plat, des jambes longues et élancées, et un cul mes amis, un cul à rendre dingue n’importe quel mâle hétéro ou bi de la création.
Nous avions perdu notre virginité ensemble 2 ans auparavant. Jeunesse aidant, nous baisions quasi tous les jours, parfois même un peu plus. Ensemble, nous avons découvert la sexualité et le plaisir, pas d’internet, pas de canal+ et ses films pornos, pas même de cours d’éducation sexuelle à cette époque... nous étions en 1978. En quelque sorte, nous nous sommes formés sexuellement ensemble et sur le tas (si j’ose dire). A titre personnel, vers 11 ans, mes premiers émois furent provoqués par les pages de sous vêtements féminins du catalogue "La Redoute"... puis vers 14 ans par quelques "Lui" piqués au grand frère d’un copain. C’est dire !
Nos premiers ébats furent maladroits, mais passionnés, et nous découvrions petit à petit des plaisirs charnels insoupçonnés. Fellation, cunni, annulingus, coït, pénétration digitale dans l’anus (pour elle et pour moi), sodomies, et même des jeux uros et d’autres jeux coquins. Mais jamais d’accessoires, gadgets ou autres sex toys, de toute façon, cela ne devait pas se ...
... trouver dans notre petite ville de province.
Très vite, nous nous aperçûmes qu’Elisabeth était clitoridienne, je n’arrivais à la faire jouir qu’en la léchant. Cela tombait merveilleusement bien, j’adorais laper sa mouille, ses petites lèvres, j’adorais suçoter et aspirer son petit clito, lui enfoncer ma langue dans le vagin, ou lui lécher l’anus. Elle ne jouissait pas vite, mais très intensément, la plupart du temps, ma bouche collée à son clito, un doigt dans son vagin et quelquefois un autre dans son cul. Puis quand elle avait joui, je la pénétrais en l’embrassant fougueusement, et je me déversais très vite en elle. Jamais, au cours de notre histoire, je ne pus la faire jouir en la baisant. Ma bite trop petite ne devait pas la stimuler assez pour cela. Et comme je jouissais bien trop vite, cela n’arrangeait rien. Mais nous avions tout de même notre équilibre puisque orgasmes nous obtenions.
Nous n’étions pas dans la même classe et nos horaires au lycée différaient. Babeth finissait quelquefois avant moi et rentrait sans m’attendre dans notre petit logement. Un mardi, je rentrais seul quand un orage éclata, une pluie diluvienne me tombait littéralement sur la tête et j’arrivais complètement trempé, mes affaires à tordre. En voulant me changer, je m’aperçus que j’avais oublié mon pantalon de rechange chez mes parents (nous rentrions tous les WE chez nos parents respectifs). Le petit souci c’est que le soir, nous devions recevoir quelques amies de la classe de Babeth, ...