Christine : confidences et romance
Datte: 02/12/2022,
Catégories:
ff,
fff,
gymnastiqu,
caférestau,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... derrière la tête en invitant Babette avec moi ?
— Je l’avoue ! Oui, rit Chantal, l’espoir d’une même symbiose entre votre fille et Brigitte m’a traversé l’esprit. Si elle pouvait se réaliser, et que vous le vouliez aussi, j’en serais vraiment heureuse. Voilà, vous m’avez mise à nu, je le reconnais !
— Vous voir toujours nue serait plaisant, même ici, plaisanta Christine. Quant à vos espoirs, je dois vous avouer à mon tour qu’ils me tentent. Mais il faudrait que ma Babette se sente aussi en confiance avec vous et vos filles que le sont votre amie Julia et sa fille.
— Croisons les doigts, alors ! Ce serait merveilleux… À propos de nudité, poursuivit Chantal, j’admire le rapport que vous avez avec votre corps. C’est un peu déstabilisant pour la plupart de nos compagnes de gym, cependant.
Christine soupira en disant qu’elle s’en était, bien sûr, rendu compte. Pour sa part, que ces dames, mûres ou jeunes, la considèrent comme dénuée de pudeur, voire indécente, elle s’en fichait, n’étant là que pour peu de temps. Et si d’aventure son attitude pouvait décoincer d’autres femmes, comme l’avait été Isabelle par exemple, elle s’en réjouirait. Elle pensait néanmoins devoir quelques explications à Chantal dont elle était sûre de la compréhension.
— Je sais que vous garderez pour vous ce que je vais vous dire, commença-t-elle en lui prenant les mains et se rapprochant d’elle presque bouche à bouche.
Sous le sceau du secret, elle lui confia qu’elle fréquentait d’ordinaire un ...
... petit club informel de stretching qu’une de ses amies, enseignante de E.P.S. Et de danse, avait créé avec quelques autres dans la ville où elle habitait. Elles s’y retrouvaient toutes ensemble, ou quelques-unes, pour se détendre sans autre obligation que de pratiquer entièrement nues, quel que soit leur physique ou leur état. Elles ne se dissimulaient rien de leur corps ni de ses besoins – d’où, par habitude, des comportements dans le vestiaire que le commun peut juger indécents – et ne se refusaient aucune caresse, masturbation ou baise entre elles, si l’envie était réciproque. Cette franchise de mœurs réclamait une absolue discrétion pour ne pas susciter des rumeurs de réunions de gouines, comme en convint Chantal que ce mode de loisir, pour original qu’il fût, ne choquait pas.
— Vous êtes libre d’esprit, la remercia Christine. Dès que je vous ai rencontrée, j’ai senti que quelque chose nous rapprochait. J’ai tout de suite été attirée par vous.
— Moi aussi, Christine. Je n’avais pas compris pourquoi, mais j’étais désolée de ne plus vous revoir. Et quand je vous ai retrouvée, j’étais si heureuse, j’en avais le cœur qui battait !
— Si vous n’aviez pas pu venir au même horaire que moi, je ne serais pas restée. Notre première douche ensemble a été un réel bonheur.
— Pour tout vous dire, avoua Chantal sans honte, je me suis masturbée le soir en y repensant.
— Ma chérie ! Quel beau cadeau vous me faites en le disant !
Si elles avaient été seules, leurs bouches se seraient ...