Séduction délicate de la soeur de ma mère (32)
Datte: 29/11/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... lui avouer que ma tante avait été toujours l’objet de mes fantasmes les plus fous. Je n’allais pas non plus lui confesser que je vivais une sorte de rêve éveillé, que dès mes quinze ans, je vouais un amour irraisonné à la petite sœur de ma propre mère. Il fallait choisir les bons mots et éviter une réponse banale de ma part, synonyme de déception pour celle assise à mes côtés.
— A vrai dire, la réponse est sous vos yeux, nous sommes devant pour envisager un deuxième enfant et Véronique a omis de vous préciser que c’est moi qui désire un second enfant d’elle. Lui précisai-je.
— Vous avez de la répartie ! Donc dans l’immédiat, Madame ne sait pas encore si elle envisage de faire un bébé (elle marqua une pause, puis enchaîna) et puis-je savoir pour quelle raison vous hésitez ? lui signifia-t-elle avec pertinence.
— Bah... je culpabilise, c’est le fond du problème et j’éprouve des remords tout le temps, alors avoir un second enfant... Se lamenta-t-elle.
— Ah si nous étions au temps de l’Egypte Antique, le problème serait déjà résolu ! L’inceste, notamment entre frère et sœur était monnaie courante, mais je ne vais pas vous faire un cours d’histoire (elle croisa une dernière fois les doigts) Ecoutez, je vous parle en toute franchise, vous vous contredisez sans cesse (ma belle quadra avait pris sa mine boudeuse) Patrick, selon vos propres termes est l’homme que vous cherchiez et il aimerait un second enfant de vous, c’est une belle déclaration d’amour, en tout cas, ça ...
... y ressemble fortement.
— Oui en effet. Dit-elle en se grattant le menton.
— De mon côté, je peux tout simplement vous affirmer que je ne vois rien qui vous empêche sur le plan physique de procréer à nouveau et il faudrait en reparler lors d’une prochaine consultation, je pense que ce sentiment de culpabilité doit être traité et pas sous-estimé, mais n’oubliez pas pour l’instant, si vous prenez votre décision, vous devrez privilégier la patience et garder une part d’égoïsme pour vivre heureux, sans vous soucier du quand dira-t-on ! Ma secrétaire vous fixera un prochain rendez-vous vers la mi-mai et nous pourrons faire le point. Conclut-elle en nous raccompagnant à la porte.
Après des salutations d’usage, Véro se présenta au secrétariat. Une fois la consultation payée, elle prit la carte de visite sur laquelle la date du rendez-vous était notée. En sortant dans le couloir, elle appuya brièvement sur le bouton de l’ascenseur et gonfla ses joues en poussant un ouf de soulagement.
L’un à côté de l’autre, nous attendions que la porte s’ouvre. Le cabinet médical était situé au troisième étage dans un ancien immeuble, en plein centre de Marseille. Il s’agissait d’un quartier chic et les cimaises du couloir en témoignaient, ainsi que les moulures du plafond. L’ascenseur vieillot peinait à monter et des bruits métalliques résonnaient dans sa cage, nous indiquant son arrivée imminente.
En tirant sur la grille, Véro s’y engouffra la première comme une sorte de délivrance. ...