1. Attaché, Soumis, Humilié


    Datte: 28/11/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byeddard747, Source: Literotica

    ... plus qu'un nerf sexuel à vif. Je ne pouvais plus me retenir, et elles le savaient bien. Amélie dût sentir les palpitations de mon colon autour de ses doigts, Audrey, voir la contraction prémonitoire de mon périnée ou les spasmes impatients de ma verge. Cette dernière lâcha prise, ne voulant pas m'accorder la grâce d'un orgasme satisfaisant. Elle voulait que je jouisse du cul.
    
    Au moment fatidique, je poussai un cri étouffé sous ma déesse du soir, et jouis incontrôlablement. Mon anus fut pris d'une telle contraction que les doigts d'Amélie en furent expulsés. Un instant plus tard, je crachais mon premier trait d'un foutre dense et bien blanc sous le rire victorieux des deux filles. Il fut suivi de près par un autre, puis encore un autre dans une éjaculation qui sembla électriser tout mon corps jusqu'aux orteils.
    
    Il fallut une trentaine de secondes pour me traire complètement et que le sperme s'arrête de jaillir. Mon petit trou, désormais élargi, clignait pour Audrey entre mes fesses bien rouges pendant que j'essayais de récupérer. Néanmoins, elle m'asséna plusieurs claques bien portées qui m'atteignirent droit sur l'anus. Ne pouvant plus me contenir, j'éclatai en sanglots.
    
    Amélie me libéra de ma prison, me laissant de nouveau cul en l'air et tête au sol. Avec une douceur inattendue, elle souleva mon menton, que je puisse la regarder. Elle me caressa le visage de sa paume.
    
    Cette expression douce, cette main sur ma joue, c'était mon salut. Je levai la tête, ...
    ... sanglotant et pathétique, avec pour seul espoir un baiser aimant, presque maternel.
    
    Amélie me cracha au visage avant de me gifler en riant.
    
    "Mais quelle chienne tu fais," me dit-elle. "Tu prends dans le cul et ça te fait gicler!"
    
    Avant la suite, elle enleva sa culotte en coton, que je voyais trempée par son excitation. Cette fois-ci, elle s'assit par terre, devant moi, amenant mon visage à sa vulve humide. Mes lèvres étaient sur les siennes et mon nez dans son buisson brun où les gouttes de mouille se prenaient comme de la rosée.
    
    "Continue, ma chérie, sa bite peut encore juter."
    
    Audrey s'applica donc à me traire de nouveau. Attaché comme je l'étais, je ne pouvais que me débattre futilement face à l'assaut acharné sur ma queue violette et violentée.
    
    "Pitié, arrête! J'ai joui, j'ai déjà joui!" criai-je.
    
    Amélie me fit taire en m'enfonçant le visage dans son entrejambe. Mes sanglots semblaient la pousser vers la jouissance.
    
    Mais les va-et-vient rapides et vigoureux portèrent leurs fruits: au bout de quelques minutes, dans un râle de souffrance sexuelle, mon corps entier se tendit. Mon pénis cracha trois rapides volées de semence que je ne pensais plus avoir.
    
    La puissance du sperme poussé de force le long de mon urètre me faisait pleurer. Je suppliais, priais en des termes incohérents que l'on laisse ma pauvre queue se reposer.
    
    Audrey ne voulait rien entendre d'autre que les couinements sexuels de son amie et amante. Elle continua à me branler à un rythme ...