1. Le projet artistique (65)


    Datte: 26/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... sommeil. Etait-ce si spécial de dormir avec elle ? Ou bien n’était-ce que le cas particulier de Paul qui influençait la situation ? Je me rapprochais un peu plus du sommeil et de Liz qui s’était endormie depuis un moment. Elle avait tenté de me stimuler mais après les sollicitations des filles dans l’après-midi je n’avais pas été très réceptif. Elle avait conclu ses efforts en me rassurant :
    
    — Fatigué, hein ? Pas grave, je comprends, moi c’était hier.
    
    Un peu plus loin, je vis Amandine avec Sylvie. Elles dormaient toutes les deux, Sylvie était protégée par les doux bras de ma bien-aimée. Tout était calme, personne ne fricotait. Nous avions une apparence sage alors que nous dormions tous nus comme des vers et pas avec notre partenaire habituel, voire même avec quelqu’un du même sexe.
    
    Le lendemain matin, ma queue s’était réveillée avant moi et avait décidé de se faufiler entre les fesses de Liz. Celle-ci, dans un demi-sommeil ondulait du postérieur pour profiter de cette sensation. En émergeant, je me rendis compte qu’une de mes mains était posé sur le sein de Liz et le massait doucement. C’était plus gros que ce que m’offrait Amandine et bien sympathique. Mais la poitrine d’Amandine me convenait très bien, assez grosse, bien ferme et plus haut perchée. Je commençai à entendre quelques soupirs s’élever ici ou là. Du double lit où se trouvaient Amandine et Sylvie, dans le fond à droite.
    
    Au fond également, Svenja et Esteban gémissaient faiblement et près de la porte, ...
    ... en face de nous, Ida et Marie étaient plutôt silencieuses mais les mouvements des draps ne laissaient que peu de place au doute. Je savais que de l’autre côté, dortoir garçon, Germain était avec Wilhelm et Olivier avec Jutta. Après Felipe était-il avec Stephan et Carine avec Peter ? Je ne savais pas trop mais globalement toutes les combinaisons étaient possibles, même si les couples franco-allemands étaient les plus probables. J’entendis quelques grincements de literie mais peu de son de voix. J’imaginai facilement les causes de ces bruits de ressorts. Et puis finalement je perçus de faibles, très faibles soupirs. Et ils ne venaient pas de l’autre dortoir. Ils s’échappaient d’au moins une des chambres de nos chaperons. Et pour des chaperons censés surveiller nos écarts de moralité, ils n’étaient guère exemplaires. Le frère et la sœur avaient partagé le même lit tandis que le mari et la femme de ceux-ci en avaient fait autant et tout le monde dans le plus simple appareil. Surtout, les soupirs de plaisir que je percevais venaient des deux chambres.
    
    Globalement, ça se caressait, ça se massait et se tripotait doucement un peu partout. Sous les draps et les couvertures, nous étions bien au chaud, nous faisant tous du bien et rendant le levé de plus en plus difficile. Ma main avait abandonné le sein de Liz pour aller lui titiller l’entrejambe, son antre s’humidifiait tranquillement sous mes doigts. La jeune femme qui avait partagé ma nuit n’était pas inactive. Elle s’était un peu ...
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