1. Le projet artistique (65)


    Datte: 26/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... retournée pour aller empoigner mon membre et l’astiquer de longs et lents mouvements. Liz me tendit ses lèvres et j’y déposai les miennes. Et nous n’étions pas les premiers à échanger un baiser. Mais je ne sus dire qui en était déjà là. Je ne pus me rendre compte que du fait que les quatre couples se roulaient des pelles. L’autre dortoir s’était mis à être plus démonstratif et il me parvenait le même genre de sons que nous faisions de notre côté. Et pour les profs ? Cela restait discret et plus ou moins sur le même rythme.
    
    Liz finit par se retourner complètement sur moi et à faire glisser sa vulve le long de mon sexe. Du coin de l’œil, je vis aussi plus de mouvements tout autour de moi. Amandine était passée sur Sylvie et semblait se frotter franchement à elle tout en l’embrassant. L’autre couple hétéro du dortoir bougeait pas mal mais cela ne ressemblait pas des va-et-vient classiques. Ils donnaient plutôt l’impression d’avoir laissé leurs mains sur les parties intimes de l’autre et de s’exciter ainsi. En face, les deux filles s’embrassaient savamment et Marie commença à descendre ses lèvres le long du corps d’Ida. Se faisant, elle semblait se retourner petit à petit pour, sans doute, finir tête bèche avec l’Allemande.
    
    Du dortoir homme, les grincements de literies étaient bien plus présents mais toujours dans un rythme qui ne me faisait pas penser à de la baise pure et dure. De même que dans les chambres des professeurs, ça s’agitait maintenant un peu plus mais ...
    ... toujours sans débauche d’énergie. Tout le monde faisait monter la température lentement. Lentement mais sûrement, il devenait urgent que j’entre mon sexe dans celui de Liz. Ma partenaire du matin sembla lire dans mes pensées car elle descendit sa main et attrapa ma queue. Elle se pencha en avant et positionna mon gland à l’entrée de son vagin. Sans plus attendre je poussai mon ventre en avant et l’empalai lentement. Liz ferma les yeux et savoura cette pénétration. Pour moi aussi, elle fut délicieuse tant les moments précédents de caresses avaient fait monter la tension.
    
    —Merde ! Merde !
    
    — Merde ! Merde !
    
    Je reconnus tout de suite les voix de Peter et Felipe. Le timbre de leurs voix aurait pu me faire rire mais ce que Felipe rajouta dans la foulée me glaça d’effroi :
    
    — Bordel, on est à la bourre !
    
    Peter dut probablement lancer la même alerte en allemand mais j’étais trop pétrifié pour comprendre. Liz et moi étions figés comme des statues. Tout à coup, j’entendis des pas précipités d’un peu partout, cela nous réveilla et je sautai hors du lit et hors de Liz. Esteban fila devant moi, la queue raide au vent, telle une lance de chevalier en pleine joute. Je n’eus qu’un quart de seconde pour voir que les pubis des nanas luisaient de mouille avant de partir moi aussi. Dans le couloir, je faillis me faire écraser par Jutta et Carine; je me plaquai dos au mur pour les laisser passer et l’une d’elle cogna mon sexe tendu à l’horizontale.
    
    Ce délai me permit de voir Dieter et ...
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