1. Valérie,parisienne et libertine (1)


    Datte: 26/11/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... l’embrassais en lui chuchotant que parmi mes bijoux, je pourrais lui présenter aussi des bijoux intimes.
    
    Lorsque nous nous détachâmes de notre embrassade, je vis son regard qui se voulait choqué.
    
    — A très vite ; j’ai hâte de découvrir toutes vos créations, lâcha-t-elle.
    
    Justine m’appela dès le lendemain matin et vint le jour même prendre un café.
    
    C’était l’été, et lorsque j’ouvris ma porte, elle se présenta avec une robe chemisier colorée, mais un peu courte et le col ouvert plus que nécessaire.
    
    Je la laissai au salon pour préparer les cafés et lorsque je revins, elle se tenait debout, le dos tourné, son regard sur les toits de la ville qu’elle découvrait depuis la porte-fenêtre ; le soleil l’entourait et je pouvais voir les courbures de son corps que la lumière découpait à travers le fin tissu.
    
    Cherchait-elle à me provoquer ? Si c’était le cas, je n’allais sûrement pas tomber dans ce piège, il fallait qu’elle sache dès maintenant qui dominerait.
    
    Assises, nous bavardions, je lui montrais me plus jolies créations, ses yeux brillaient ; comme beaucoup d’entre nous, elle aimait les bijoux. Après avoir vu, touché et essayé, colliers bracelets et bagues, il y eut un léger silence que je ne rompis pas, gardant un regard insistant sur ses yeux.
    
    Elle bredouilla enfin : « Tu m’as parlé de bijoux intimes hier ; je suis intriguée, qu’est-ce que c’est ?
    
    Posé sur la table basse se trouvait un écrin que je lui tendis.
    
    — Ouvre-le !
    
    Justine s’exécuta et ...
    ... j’ai savouré ce moment où, le visage empourpré, elle découvrit ce plug de métal doré, poli, serti d’une pierre de couleur. C’était un test, soit elle refermait l’écrin et se retirait poliment soit elle restait ; sans jouer gros, je reconnais que je la provoquais à dessein. Inutile de perdre trop de temps !
    
    Elle ne partit pas !
    
    — Tu te sers de cet objet ? demanda-t-elle.
    
    — Oui régulièrement, pourquoi ?
    
    — Je voulais dire tu t’en sers pour toi ?
    
    — Un peu pour moi, beaucoup pour les autres ?
    
    — Tu t’en sers avec tes amants ?
    
    — Non, avec mes amantes.
    
    Ce faisant, je posais ma main légèrement à l’intérieur de son genou sur lequel j’imprimai une légère pression pour l’inviter à écarter les jambes ; elle ne résista pas.
    
    Nous ne prononcions aucun mot, je retirai ma main et lorsqu’à ce moment, elle commença à refermer les jambes, je pris une voix sèche :
    
    — Tu restes comme ça.
    
    Elle obéit, baissa la tête, mais je pus voir ses yeux devenir humides.
    
    — Maintenant, tu écartes complètement tes cuisses.
    
    J’appréciais ce moment ; Justine prit cette pose inhabituelle qu’aucune femme ne lui avait sans doute jamais imposée.
    
    — Maintenant, relève ta robe et déboutonne-la.
    
    Ses gestes étaient lents, un peu hésitants, mais elle les fit.
    
    Je pouvais voir ses seins un peu lourds comme je les aime ; elle portait une culotte blanche et sage.
    
    — Écarte ta culotte et mets tes doigts dans ta chatte.
    
    — Je ne peux pas faire ça Valérie, je ne peux pas.
    
    — Si tu ne ...