1. Valérie,parisienne et libertine (1)


    Datte: 26/11/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    Valérie Parisienne et Libertine
    
    Crise sanitaire oblige, j’étais comme nous, tout enfermée dans cette routine entêtante télétravail, repas, dodo !
    
    Créatrice de bijoux, mes crayons, feutres, et dessins comme les réunions « zoom » rythmaient mes journées dans le confort de mon appartement parisien. Mes nuits, elles, l’étaient peu (rythmées) !
    
    Célibataire, femme bi et libertine, cela faisait 4 mois que ma vie sexuelle était en pause !
    
    J’oubliais de me présenter ! Je m’appelle Valérie, 54 ans, encore appétissante (je pense). Je mesure 1,72m, un peu ronde, des seins de bonne taille, brune au teint mat, souvenir d’origines ibériques (pilosité comprise !). Élevée à Paris dans une famille classique, je ne me suis jamais mariée. Après un collège de jeunes filles, j’ai étudié dans une école d’art où je me suis spécialisée dans le design ; après une assez longue carrière chez de grands couturiers à créer des bijoux, il y a 10 ans, j’ai monté mon cabinet. J’apprécie cette indépendance et sans être devenue une nouvelle Loulou de la Falaise, je réussis bien, ce qui me donne un certain confort et beaucoup de satisfaction.
    
    Le sexe a toujours tenu une place importante dans ma vie avec les hommes bien sûr, mais j’aime aussi le corps des femmes et mes aventures saphiques sont nombreuses. Elles ont débuté au collège où dès l’adolescence, je m’enhardissais à attirer des filles dans mes filets ; période de baisers volés et caresses intimes dans les toilettes. C’est à 16 ans que j’ai ...
    ... prodigué mon premier cunni ; elle s’appelait Aline et avait le même âge que moi. Il m’avait fallu une belle dose de persuasion pour l’amener là ! Aline, élevée dans une famille de 5 enfants, était profondément délurée et espiègle, mais tout cela était enfoui sous son éducation stricte qui lui interdisait à son âge toute sexualité.
    
    Nous étions amies et ses regards empreints de désir ne m’avaient pas échappées. Je me souviens de ce fameux jour où nous nous étions retrouvées dans les toilettes et sous le prétexte qu’il n’y avait pas de papier, je lui avais demandé de m’en apporter. J’avais ingénument ouvert la porte et lorsqu’elle la poussa, je me tenais assise, cuisses écartées, plus que nécessaire ; je saisis le papier qu’elle me tendit et m’essuyai avec une certaine langueur en tenant mes lèvres écartées. C’est en observant son regard que je sus que c’était le bon moment. Je me levai, fermai la porte et, encore déculottée, je lui donnai un baiser fougueux et maladroit. Je la sentis fondre instantanément, se coller à moi. C’est moi qui pris les devants en introduisant ma main sous sa jupe ; il lui fallut un certain temps pour me rendre mes caresses, mais une fois ces jeux de mains entamés, elle se laissa aller.
    
    Je me souviens qu’elle ait protesté, mollement, lorsque je me suis agenouillée et que j’ai collé ma bouche sur sa vulve pour la lécher sans doute sans grande finesse !
    
    Nous sommes bien sûr allées plus loin lorsqu’Aline venait dormir à la maison ou le contraire, ...
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