1. Rue de la Liberté


    Datte: 25/11/2022, Catégories: fh, hh, grp, hbi, voisins, poilu(e)s, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, occasion, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... c’est tout ! Il est bien taillé, manifestement habitué aux travaux ou bien résultat d’un abonnement à une salle de musculation. C’est bien joli de danser, cela donne chaud, ne dis pas le contraire, mais il faut surtout arrêter le champagne. Tu vas finir pompette.
    
    — Vous avez raison. Je suis novice. Mais de toute façon…
    
    J’allais lui dire que je ne faisais que passer.
    
    Passer, passer, cela fait bien une demi-heure que tu passes ! Tu passes en revue ce que les libertins te montrent. Ils en ont de l’imagination. Et puis avec cette histoire de test, pas de temps mort.
    
    — Je peux vous servir de mentor si vous le souhaitez.
    — Je crois que j’ai déjà fait le tour.
    — Alors, une danse peut-être ? Je me suis promis de terminer l’année et commencer la nouvelle avec la plus belle femme de la soirée.
    — Flatteur.
    — Non, c’est sincère. Alors au moins une danse…
    
    Je lui tends la main. Il me prend par la taille. Il m’enlace. Je m’attendais à ce qu’il m’entraîne au centre, mais non. Je me laisse faire dans ce slow qui est presque inaudible alors que des cris de jouissances ponctuent cette fin d’année. Vingt-cinq minutes. Au fond, un afficheur rappelle à tous que le temps nous est compté.
    
    Je me sens bien. Il sent bon. Quelques pas, plutôt des piétinements. C’est comme si nos corps faisaient connaissance. Nous sommes de la même taille. Il est tendre. Ses mains sont chaudes sur ma peau. Mes seins s’écrasent avec délice contre son torse. Il m’enveloppe de toute sa puissance. ...
    ... J’ai l’envie irrésistible de toucher sa peau. Je glisse une main sous le débardeur et c’est comme un choc. Il frissonne et moi aussi.
    
    Stop. Arrête tout de suite ! Tu vois bien que tout ce que tu as vu, ce que tu entends, ces danses avec ces hommes caressants, t’a rendue sensible. D’accord, qui ne le serait pas ? Quelle femme n’apprécierait pas ces hommages ? Et lui qui te désigne comme la plus belle femme de la soirée ! La plus ingénue, oui ! En plus, il en fait plutôt moins que les autres. Un slow, un slow comme beaucoup. Peut-être un peu plus collant. Peut-être aussi un peu moins habillé. Ses mains si chaudes… Et toi qui le caresses. Arrête. Tu t’étonnes de sa toison. Sur son dos ! Jusqu’au bas des reins. Tu joues avec le feu. Ressaisis-toi. Tu es là juste pour regarder, peut être le raconter à ton mari pour le rendre jaloux, quoiqu’il risquerait de mal le prendre, et surtout, de ne pas te croire lorsque tu diras que tu es partie avant minuit. Comme Cendrillon… Allez, écarte-toi de lui… Excuse-toi et sauve-toi. Tu utiliseras un sex-toy pour satisfaire tes sens, tes tétons qui pointent, ton ventre qui te chauffe.
    
    C’est comme s’il m’avait entendue. Il se détache un peu de moi, mais ne me libère pas vraiment. Il retire juste une main de mon dos pour la poser sur mon cou dans un effleurement brûlant. Cette main il la passe, sur mon menton, soulève la dentelle du masque qui me couvre le bas du visage et je sens deux doigts effleurer mes lèvres.
    
    Non, pas cela, surtout pas ...
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