1. Faible Christine 2


    Datte: 28/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... Le plus incompréhensible, après les rapports sexuels renouvelés du deuxième jour, c'est que ma femme, dont j'ai entendu qu'elle m'aimait et qu'elle ne voulait plus commettre l'adultère, une nouvelle fois, ait fait entrer le tentateur et vainqueur des deux jours précédents. Vice ou inconséquence féminine ?
    
    Car, au coup de sonnette, Christine n'ignore pas ce que Georges exigera d'elle dès qu'il aura franchi le seuil. Le loup entré dans la bergerie mangera la brebis imprudente. J'ai l'impression que la brebis aime être consommée toute crue. Elle souhaite tomber dans la gueule du loup avant de se prêter à ses assauts pour connaître les grands frissons. Voilà ce qui contredit ses déclarations, si vite oubliées, d'amour conjugal. Elle vit en pleine contradiction, proclame qu'elle m'aime mais se soumet à la volonté du bouillant amant. C'est à croire que le chantage de Georges convient à Christine. Elle jouira et pourra attribuer la responsabilité des accouplements au maître chanteur. C'est moralement confortable pour l'infidèle "malgré elle".
    
    De mon réduit, situé à 5 mètres de la porte de ma chambre, j'entends que le festin démarre. Le morveux sûr de sa victoire commente :
    
    - Ma chérie, ne pense qu'à ton plaisir. Pour apéritif je t'offre ma queue. Ouvre ton appétit en la prenant entre tes lèvres. Quand tes papilles reconnaîtront mon odeur, instinctivement tu saliveras et tu souhaiteras boire mon sperme. Agenouille-toi, caresse mon sexe, repousse mon prépuce et lèche mon ...
    ... gland pour débuter. L'envie de me sucer et de m'attirer au fond de ta gorge naîtra automatiquement de ces premières gâteries.
    
    - Faut-il vraiment ? Tu es déjà terriblement excité et tu éjaculeras trop vite. Nous pourrions passer immédiatement à l'union que tu m'imposes sous la menace.
    
    La réponse rappelle qu'elle agit contrainte et forcée. Christine garde un certain degré de lucidité, elle souffre de la situation ou elle s'enfonce pourtant. Puisqu'il faut y passer, elle aimerait que les choses se déroulent au plus vite. Que le garçon la pénètre, qu'il la défonce et qu'il la libère au plus tôt. Lui ne l'entend pas de la même oreille. C'est la dernière fois, il faut en faire un long feu d'artifice. L'événement doit marquer la mémoire se sa vieille maîtresse. Et qui sait, peut-être lui arrachera-t-elle la promesse de prolongations tant elle aura apprécié? Il l'exprime crument :
    
    - Ne fais pas ta bégueule. Tu meurs d'envie de te faire sauter. Ne sois pas trop pressée. Ne m'énerve pas par des subterfuges destinés à raccourcir la séance. Je compte bien jouir longuement et te procurer un maximum d'orgasmes. Je tiens à te laisser le souvenir de rapports sexuels inoubliables et formateurs. Alors obéis et profite au lieu d'essayer de te soustraire aux délices de l'amour.
    
    - Tu me forces. Mais je ne t'aime pas. Tu aurais dû te contenter de ce que tu avais obtenu par force et par ruse. Il est cruel de réclamer de nouvelles joutes amoureuses sous la menace. Je me soumets mais ce n'est ...
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