1. Faible Christine 2


    Datte: 28/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    Je me suis retranché dans la salle d'eau. Les amants du jour, quittant le séjour, viennent d'entrer dans ma chambre à coucher. Evidemment c'est aussi la chambre à coucher de Christine, ma femme. Le chantage de Georges a eu raison de sa résolution de mettre fin à leur liaison toute récente puisque "vieille " de 72 heures seulement. Et moi, Jean, le cocu de l'histoire, entré discrètement pendant que Georges frottait flanc et cuisse au postérieur de Christine penchée à la fenêtre sur rue. J'ai surtout entendu leurs échanges.
    
    J'ai acquis la certitude que le petit-fils de madame Berlin, la dame du sixième étage, avait su exploiter l'envie de rendre service de Christine. Elle avait gentiment accepté de l'aider dans la recherche d'un emploi. Ainsi s'était établi une proximité favorable à toutes les audaces d'un garçon mû par son instinct sexuel plus que par la nécessité de trouver du travail. Le jeune-homme avait tenté le coup,et il avait un peu bousculé avec l'inconscience de son âge mon épouse de 37 ans. L'hommage du garçon de 25 ans avait surpris la femme mûre. Sans réfléchir, inconsciemment séduite par l'élan du jeune étalon, elle l'avait laissé agir. De baisers en caresses, de caresses en masturbations puis en pénétrations orales, il était parvenu à une possession vaginale couronnée d' orgasmes tremblants. Georges occupe en ce moment un emploi de gigolo !
    
    Son succès lui était monté à la tête et après un court répit il avait osé une levrette endiablée. Plus Christine ...
    ... exprimait le plaisir qui la submergeait véritablement, plus le conquérant se sentait approuvé et encouragé à défoncer cette femelle soudain révélée aux "extra" du sexe. Plus l'homme s'acharnait sur son clitoris, plus elle geignait, demandait grâce et plus il éprouvait le sentiment de distribuer à cette femme le véritable bonheur sexuel. Il pouvait s'enorgueillir de donner du bonheur à une femme mûre !
    
    Ils s'étaient quittés difficilement. Lui triomphant, elle à la fois heureuse, comblée et consternée. Le jeune coq s'était "fait" une femme magnifique d'âge mur. La mature était sortie de l'expérience inattendue l'esprit bouleversé. Elle se souvenait tout à coup qu'elle était mariée, pensait aux conséquences possibles de son égarement. Une voix intérieure lui rappelait son serment de fidélité et le remords entamait la joie passagère du plaisir interdit. En hâte elle avait remis l'appartement en état. Il ne fallait pas que son mari découvre des traces du passage de l'ouragan sexuel
    
    Si elle regrettait sincèrement la faiblesse de sa défense face à l'ardeur de cet amant de passage, si le remords commençait à gâcher le souvenir de ses orgasmes, comment expliquer que, le lendemain, Christine ait ouvert sa porte à Georges qui insistait sur la sonnette. Se sentait-elle assez forte pour résister à une nouvelle tentative ou souhaitait-elle secrètement que le jeune Georges renouvelle ses attaques et vainque sa vertu défaillante ? La question me tourmente au moment où j'attends de savoir.. ...
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