1. Moi paysanne maîtresse du sexe (4)


    Datte: 24/11/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... à écrire avec Bérangère.
    
    — Merci ma Louise, tu ne peux pas savoir comme ça me fait plaisir venant de toi.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Parce que tu es très importante pour moi, j’ai toujours envie d’être avec toi, contre toi, et même de sentir ta peau contre la mienne, tu sais ce que ça veut dire ?
    
    — J’ai l’impression que tu fais l’âne pour avoir du foin, ne me prends pas pour une idiote, je suis sûre que tu sais très bien ce que ça veut dire.
    
    — Oui, je le sais très bien ce que ça veut dire, mais je ne comprends pas que ce soit avec une femme, surtout que ce n’est pas la première fois.
    
    — Et c’était avec qui avant ?
    
    — Ma cousine Germaine.
    
    — Ta cousine germaine, tu aimes ta famille proche toi.
    
    — Ce n’est pas ma cousine germaine, c’est ma cousine qui s’appelle Germaine, c’est la fille du cousin issu de germain de ma mère.
    
    — C’est très simple, tu es comme moi et madame, une gougnotte, tu aimes les femmes.
    
    — Peut-être, mais pas que.
    
    — Tu aimes les hommes ?
    
    — Je ne sais pas, je n’ai jamais goûté, je ne me souviens pas avoir été attirée par un homme, mais j’aimerais me faire dépuceler. Et comme les hommes ne m’attirent pas, j’aimerais que ce soit mon frère, le seul homme que j’adore. Je voudrais m’offrir à lui le jour de sa majorité. Je crois qu’il aimerait ce cadeau d’anniversaire.
    
    — Quel garçon n’aimerait pas dépuceler une fille le jour de son anniversaire ?
    
    — En plus sa sœur.
    
    — Là, c’est peut-être ce qui peut faire coincer.
    
    — Ah bon.
    
    — Bin ...
    ... oui, il ne veut peut être pas faire ça avec sa sœur.
    
    — Je crois que oui.
    
    — Ça dépend de la manière dont vous vous comportez entre vous.
    
    — On aime bien se serrer l’un contre l’autre, il aime bien poser ses mains sur mes fesses pour les tapoter.
    
    — Tu es donc toujours vierge.
    
    — Oui, toujours, tu sais, dans mon village il n’y a pas beaucoup de garçons, ils sont tous partis à la guerre, seul mon frère a échappé à la conscription et il était très protecteur, personne n’osait me faire la cour.
    
    — Et tu veux connaître intimement un homme comme on dit ?
    
    — Juste donner mon pucelage à mon frère, comme cadeau d’anniversaire.
    
    — Et c’est quand son anniversaire ?
    
    — Demain, le trente et un du mois.
    
    — Tu y tiens vraiment ?
    
    — J’aurais tellement aimé, mais ça ne va pas être possible puisque je suis ici, je ne serais pas chez moi demain, je ne pourrais même pas lui souhaiter.
    
    — Oui, c’est dommage.
    
    — Et toi, tu es vierge ?
    
    — Oui, comme madame.
    
    — Et tu veux le rester ?
    
    — Oui, comme madame, elle aussi veut le rester.
    
    — Et ça te ferait de la peine si je ne l’étais plus ?
    
    — Non, pas du tout, je pensais déjà que tu ne l’étais plus, vierge ou pas vierge, ça ne change rien pour moi.
    
    — En tout cas, seul Jules aura mon pucelage, Jules ou personne.
    
    — Bien dit !!
    
    Je me jette sur elle, je plaque ma bouche sur la sienne, nous échangeons un long baiser. Nous nous séparons, elle me prend la main.
    
    — Allons voir si madame a besoin de nous, elle fait ...
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