1. Moi paysanne maîtresse du sexe (4)


    Datte: 24/11/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    L’apprentissage
    
    Nous nous séparons à regret, madame nous regarde autrement.
    
    — Louise, c’est elle ?
    
    — Je ne sais pas, mais je le pense.
    
    — Très bien, vous pourrez faire ce que vous voulez après la journée, et même ici quand je n’aurais pas besoin de vous. Moi aussi je crois que c’est elle, mais reste calme, j’ai toujours besoin de toi.
    
    — Oui madame.
    
    — Occupe-toi de moi maintenant.
    
    Elle s’allonge sur son lit, les bras en croix, les jambes ouvertes. Louise se met à quatre pattes entre ses jambes, elle plonge sa bouche sur l’abricot de madame. Je vois qu’elle apprécie, son corps commence à bouger comme avec moi. Mais je suis obnubilée par les fesses de Louise, juste en face de moi. Je fixe la fente rose que je vois entre elles, c’est l’abricot de Louise, il brille, j’ai envie de le lécher, j’adore le goût de ce qui s’en échappe. Madame remarque mon regard.
    
    — Vas-y Marie, tu veux faire plaisir à Louise, fais-lui ce que tu as envie de lui faire, ne réfléchis pas, vas-y.
    
    Je me penche sur elle, elle ouvre un peu les jambes, ma langue se glisse entre ses fesses, elle arrive sur son berlingot, je donne des coups de langue, Louise donne un petit coup en arrière, je pose mes mains sur ses fesses, et redonne des coups de langue. Je m’abreuve de ce qui coule doucement sur ma langue. Le lape, suce, mordille, j’ai envie de m’enfoncer dans ce merveilleux abricot. Je ressens une drôle de sensation quand je touche Louise, je n’ai jamais ressenti ça pour qui que ce ...
    ... soit. Tout à coup, madame crie, je suis surprise.
    
    — OOOOOHHHHH Oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
    
    Madame doit jouir comme elle dit, son corps ne lui appartient plus, elle bouge dans tous les sens, je suis obligée d’abandonner à contrecœur les fesses de Louise. Je me redresse, une minute plus tard, Louise se redresse, je vois madame, allongée sur le dos, les jambes ouvertes, les yeux fermés. Louise se penche à mon oreille.
    
    — Ça te plairait de boire à sa source ?
    
    — Sa source ?
    
    — Il va falloir que tu apprennes le vocabulaire de l’amour, c’est son sexe, son berlingot comme tu dis, tu vois bien qu’il y a une crème qui s’en écoule.
    
    — Oui.
    
    — Tu aimes cette crème.
    
    — J’adore, surtout la tienne.
    
    — Vas-y, elle n’attend que ça.
    
    J’avance vers madame à quatre pattes, je me penche sur son sexe, comme on dit, et aspire la crème qui s’en échappe. Elle bouge un peu, mais ma langue a vite fait de tout éponger. Je me redresse, elle ouvre les yeux et me sourit.
    
    — Tu va être notre meilleure élève ma petite Marie.
    
    Au bout de quelques minutes, elle se lève.
    
    — Marie, allonge-toi sur mon lit, les bras en croix et les jambes ouvertes.
    
    Je fais ce qu’elle me demande, madame se met à genoux sur le lit entre mes jambes. Elle glisse ses mains sous mes fesses et m’attire vers sa bouche. Elle se pose sur mon berlingot, je sens que je vais revivre ce merveilleux moment où mon corps est parcouru de chatouilles, comme dit madame, je vais jouir. Sa bouche m’aspire le ...
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