1. Premier entretien d'embauche.


    Datte: 21/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... alors avec un sourire féroce. Puis il reporta son regard sur le petit con de Carole où je le voyais enfoncer son mandrin avec une force accrue.
    
    Il eut soudain deux hoquets, et dans un long râle, s'enfonçant plus profondément dans son intimité, il jouit en elle, la faisant gémir de volupté.
    
    Il se retira et s'allongea sur le sol... Il bandait toujours !
    
    Il me regarda.
    
    — Viens ici, toi ! Viens !
    
    Je savais ce qu'il allait me demander.
    
    — Suce-moi !
    
    Je me jetai sur son gourdin, empoignai la lourde hampe poisseuse, et engloutis avec gourmandise le volumineux gland, trempé de cyprine et de sperme.
    
    Carole dégoulinante, les cuisses striées d'épaisses traînées du liquide blanchâtre, nous regardait, une expression de convoitise lubrique dans les yeux.
    
    — Viens, toi aussi... ! Sucez-moi tous les deux !
    
    Ce type était odieux, mais force était de reconnaître qu'il s'y entendait pour vous emmener sur les chemins les plus abrupts du vice et vous faire rouler dans la débauche la plus obscène.
    
    Ce qui n'était fait pour nous déplaire, ni à la belle, ni à moi.
    
    Carole s'approcha, je l'embrassai, et elle empoigna le gros chibre, suçant avidement le gros cabochon turgide, pendant que je la caressais, puis elle me le tendit, ruisselant de toute la salive qu'elle y avait laissée, je l'engloutis avec concupiscence.
    
    Notre tourmenteur nous ordonna:
    
    Mettez-vous à quatre pattes toutes les deux, mes salopes ! Côte à côte... Allez vite !
    
    Nous nous exécutâmes tout ...
    ... en nous regardant... il allait nous... ! La friponne resta bouche bée un instant puis eut un sourire en se mordant la lèvre. Mon cœur battait à tout rompre.
    
    Il se plaça derrière nous, nous caressant les fesses.
    
    Aaah ! Regarde si c'est joli, ces deux petits culs de putes... ! Mes salopes... !
    
    Il se plaça derrière Carole et commença par enfouir son chibre dans son con juteux. Puis il nous ordonna.
    
    — Mouillez-vous, chiennes... !
    
    Je déposai plusieurs fois ma salive sur mon anneau pendant que la mignonne faisait de même. Il replongea sa grosse queue dans son con, la retira lentement puis l'enfonça dans son anus. La petite eut un gémissement de douleur qui se mua vite en ronronnements de plaisir quand la grosse mentule se mit à pesamment la limer. Puis, j'entendis Varlin bouger.
    
    Il vint se placer derrière moi, m'écarta les fesses, et, abouchant sa massue à ma rosette, il l'y enfonça toute, me faisant gémir de jouissance. Il me lima profondément, me faisant monter, monter encore.
    
    Alors que j’ahanais sous les profonds coups de l'épaisse bielle, je sentis la langue de Carole sur mes lèvres, je les écartai, et nous nous embrassâmes, échangeant nos baisers lubriques et délicieux.
    
    Varlin qui paraissait de plus en plus échauffé, se retira et se replaça derrière Carole qu'il empala à nouveau, et la lima encore, à quelques reprises, puis, il eut à nouveau ses hoquets bizarres, et, s'enfonçant en elle au plus profond, il éjacula dans son fourreau, secoué de spasmes ...