1. Le retour de manivelle


    Datte: 20/11/2022, Catégories: fh, fhhh, cocus, grossexe, collection, humilié(e), vengeance, dispute, Oral consoler, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... -surprise.
    — Vous voulez souper ici ? je demande.
    — Non, ne t’en fais pas, on va sortir tout de suite et on te laisse la place.
    
    Une fois mon ex-chérie disparue avec ses trois acolytes alcooliques, je ferme la porte et mets la sécurité.
    
    Je n’ai pas envie de les revoir à court terme. Je rembobine ma caméra et assiste à ce qui s’est passé pendant mon absence, c’est édifiant.
    
    La porte n’étant pas encore fermée que Balou prend ma chérie et la couche sur le lit, lui enlève son slip et présente son monstre à l’entrée familiale1. Bel objet, comme un gros gode en bois d’ébène.
    
    — Oh, Balou, tu m’avais caché que tu avais de si beaux atouts. Viens vite, bourre-moi bien, tu me remplis encore mieux que Jérôme.
    
    Le voilà, pioche en avant qui investit le terrain de ma chérie. Elle décolle au quart de tour, et c’est parti pour un concert de trémolos que tout merle qui se respecte prendrait comme modèle. Bien que la caméra n’offre qu’un angle de vision réduit, on voit le plaisir monter dans le visage de Viviane. D’un dernier coup de reins, Balou vide ses burnes au grand plaisir de Viviane, ma chérie, qui en fait ne l’est plus du tout.
    
    Sans transition, comme dirait PPDA, Bastien la tourne et commence à lui lécher l’anus pour un peu l’assouplir. Sans trop attendre, il plante son dard dans le cul pendant que Balou masse l’asticot de Viviane. À nouveau, un nouvel orgasme se prépare, mais pour compléter le tableau, voilà que ce cher Jérôme - mon oncle plus du tout apprécié - ...
    ... lui met la bite dans la bouche.
    
    — Tiens, cochonne ! Reluis-moi la bite, et surtout avale bien mon dessert. Pauvre Séraphin, il va falloir agrandir les portes de l’uni s’il veut continuer à suivre les cours, sinon avec les cornes que tu lui mets, il va devoir rester dehors.
    — Vous êtes quand même des salauds avec lui.
    — C’est vrai, mais qu’est-ce que tu veux, quand on a une petite bite, il faut subir !
    — Mais j’aimerais bien le garder, il est tellement gentil.
    — Tu n’as pas besoin de l’affranchir.
    — Tu crois qu’il se doute de quelque chose ? Je l’ai trouvé très distant aujourd’hui, j’avais mis cela sur son mal de tête.
    
    Je me ressaisis
    
    C’est à ce moment-là que j’ai mis la clé dans la porte, c’est un spectacle magnifique de voir la panique des personnages à mon arrivée. Toujours tranquille, je ne montre rien avant de voir la vidéo, mais maintenant, je vais leur faire voir un chien de ma chienne.
    
    À minuit, ils ne sont toujours pas rentrés et je placarde sur la porte :
    
    « Il vous faut trouver un autre endroit, j’ai envie de dormir cette nuit tranquillement. La porte est fermée et condamnée. »
    
    À trois heures du matin, grand tapage contre la porte, je ne réagis pas… Qu’ils aillent se les geler ailleurs.
    
    Le lendemain matin, je retrouve Viviane seule et transie sur le pas de porte, les trois autres ont disparu et pris le premier bus pour Sion.
    
    — Tu as fait quoi hier soir ? me demande-t-elle avec un certain aplomb, en tremblant de froid.
    — Et toi ?
    — ...
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