1. Dimanche après-midi bien chaud


    Datte: 18/11/2022, Catégories: 2couples, hplusag, fplusag, candaul, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, totalsexe, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... jour. Mario ne savait de quoi il s’agissait, mais lui était venu pour Olga. Elle eut soudain une idée :
    
    — Nous avons été des acheteuses compulsives hier et j’aimerais revoir sur Élodie toutes ces splendeurs qu’on trouve dans ta boutique. Chaton, tu veux bien les essayer ?
    
    A priori, cette demande contrariait encore Élodie, puisque cela retardait cet « événement » annoncé par Philippe. Mais l’idée d’offrir à Philippe un défilé de mode, en portant tous ces vêtements sexy qu’il lui avait offerts, lui plut. Ça ne pouvait qu’accroître le désir de l’homme pour elle et c’est ce que voulait Olga.
    
    Élodie commença à se diriger vers la chambre avec les vêtements pour les passer.
    
    — Mais non ! Tu les essaies ici, dans le salon. Nous t’avons déjà vue nue, il me semble, y compris notre ami Mario. Et va donc rouvrir ces rideaux, c’est le signal que guette notre ami voyeur de l’immeuble d’en face. Qu’il puisse profiter de ce spectacle et de celui qui va suivre.
    
    Élodie fit tomber la robe blanche qu’elle portait et se retrouvait à nouveau nue. Elle se dirigea vers les fenêtres et ouvrit les rideaux, déclenchant également l’éclairage à LED. Élodie avait compris que c’était le signal pour le voyeur d’en face qu’il allait à nouveau se passer des choses intéressantes dans cet appartement bourgeois, où ce couple exhibait ses frasques.
    
    Olga s’installa dans le canapé, aux côtés de Mario. Celui-ci avait posé sa main sur la cuisse de la quadragénaire, n’attendant que l’occasion de ...
    ... posséder cette femme incroyable. Philippe avait choisi son fauteuil confortable de candauliste, pour pouvoir suivre l’exhibition que faisait à son intention sa princesse.
    
    Élodie commença par le plus difficile, les« Pleaser », ces escarpins vernis rouges avec des talons aiguille de quatorze centimètres. Mario avait eu raison de dire qu’il était très difficile de marcher avec ça. En veillant à marcher lentement, en tortillant du cul, Élodie fit sensation. Sa démarche était incroyablement sensuelle et excitait les autres. Olga posa sa main sur la braguette de Mario, qui bandait comme un cerf, alors que Philippe dévorait Élodie des yeux.
    
    Élodie prit tout son temps pour essayer successivement chacun des vêtements, depuis les collants, en passant par les jupes, les robes, les chemisiers, le tailleur. Elle réalisait combien elle était indécente et le spectacle érotique, l’exhibition qu’elle offrait, tant aux trois autres qu’au voyeur. Et ce d’autant plus qu’après chaque essai elle était dans le plus simple appareil, seulement avec ses chaussures. Ce qui sublimait Élodie était la formidable érection qui déformait le pantalon de Philippe et le regard de désir qu’il portait sur elle. Elle qui n’avait jamais fait ça, donnait l’impression d’être un mannequin, une professionnelle. Élodie sentait aussi que l’érotisme ambiant, ce spectacle lui-même l’excitait terriblement et avait déclenché chez elle les signes qui ne trompaient pas. Elle était comme une biche qui ne pouvait plus attendre ...