Orphelin
Datte: 18/11/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
religion,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... rendre utile, attentive, apprenant vite et restituant bien. Et puis, il est toujours agréable d’avoir une fille très disponible sous la main baladeuse, toujours prête à satisfaire une petite envie de passage. Elle s’entendait très bien avec Frane qui, elle aussi, profitait largement de sa bonne volonté, et avait également trouvé en elle une complice pour faire les boutiques. Un jour, alors qu’elles me pensaient ailleurs, je surpris une de leurs conversations qui me fit siffler une oreille :
— Tu comprends, disait Frane, Jérôme est un baiseur exceptionnel. Il me fait jouir comme aucun autre homme, et je tiens à le garder.
— Je suis bien d’accord avec toi et je te comprends. Mais alors, pourquoi le partager ?
— Il a de gros besoins d’une part, je ne suis pas toujours là ou disponible d’autre part, et surtout j’ai douze ans de plus que lui. Il suffit d’une petite nana bien futée de passage, quand elle y aura goûté, je perds mon Jérôme. Alors je préfère que la nana soit mon amie, à la maison, que mon Jérôme ait les couilles vides en permanence et n’aille pas chercher ailleurs. À deux, on se le garde…
La maline ! Elle la rhabilla de pied en cape, modelant à son goût la docile jeune femme. Ainsi se laissa-t-elle pousser les cheveux pour les tirer en chignon haut, ce qui, associé à des talons démesurés, lui donna quinze centimètres de plus et une élégance insoupçonnée. Les compétences informatiques de Sandra dépassaient de loin les nôtres, et nous prîmes l’habitude de lui ...
... confier l’essentiel des tâches numériques, gestion du site, comptabilité, etc. Je dois avouer que le temps s’écoulait fort agréablement, du moins en ce qui me concernait. Des rentrées d’argent en croissance permanente, un travail plaisant, m’étant délesté sur Sandra de tout ce qui me coûtait, et deux femmes offertes que je baisais frénétiquement ensemble ou séparément trois à quatre fois par jour.
La maman de Sandra, cette bonne Solange, suivit le même chemin que mon père et, sans crier gare, passa l’arme à gauche du jour au lendemain. Tristesse, recueillement, obsèques, puis notaire et tout rentra enfin dans l’ordre pour la jeune femme qui avait également gagné son procès pour récupérer une grosse partie des sommes dilapidées par sa mère. Une fois remise de ce douloureux épisode, elle nous fit un soir cette proposition étonnante :
— Dites, les amis, j’ai eu une super idée, je ne sais pas ce que vous allez en penser…
— Dis toujours.
— Eh bien voilà. Ton pavillon de banlieue, Jérôme, n’est pas mal. Mais c’est loin. Ce que je vous propose, c’est d’habiter chez moi dès maintenant. La maison est spacieuse, agréable, dans un beau quartier assez calme, mais en pleine ville, tout près d’ici. On n’aurait qu’à rafraîchir peintures et papiers peints et, j’avais bien noté, laquer les meubles en blanc cérusé et mettre des coussins et des tentures bleu canard. Qu’en dites-vous ?
— Ah ! Ça ne me déplairait pas de vivre en bourgeoise, et toi chéri ?
— Oui, pourquoi pas ? Moi je vous ...