1. Orphelin


    Datte: 18/11/2022, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, religion, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... tu as déjà trouvé quelque chose : nous t’embauchons.
    — C’est vrai ? Oh, vous êtes formidables ! Merci, ajouta-t-elle, les larmes aux yeux.
    — Attends, ne saute pas encore en l’air. Nous avons peu de moyens et beaucoup d’investissements à faire. Donc on ne te propose pas la lune. Juste un SMIC, mais on t’offre des petits à côtés comme la nourriture, si tu acceptes de partager notre pitance, surtout quand c’est Frane qui cuisine…
    — Quoi ? Qu’est-ce qu’elle a ma cuisine ? Elle ne te plaît pas ? Va voir ailleurs ! …
    — Euh… par exemple, c’est quelque chose que je pourrais faire, j’adore ça et je réussis pas mal…
    — Ben tu vois qu’elle en a plein des qualités ! Éventuellement, on peut aussi t’héberger si tu acceptes de partager notre lit…
    — Ha ha ! Ça, autant que vous voulez, c’était trop bon. Et autrement, je ferai quoi ?
    — Rien de très précis, nous aider. Tu vois, à chaque fois qu’on est débordés, c’est permettre d’absorber le surplus. Frane disait ironiquement le ménage, mais oui, c’est vrai qu’elle en a un peu marre. Partager la soulagerait.
    — Ce n’est pas un souci. En informatique, je peux aider aussi. Et puis il y a quelque chose qui manque dans votre galerie, si je peux me permettre.
    — Quoi donc ?
    — Une ambiance musicale, j’ai trouvé ça un peu froid. Pas les Rolling Stones à tue-tête, mais un petit fond d’ambiance…
    — Oui, alors j’ai étudié la chose. C’est inabordable. Pas le matériel, mais les droits SACEM dans les lieux publics.
    — Mais on peut contourner le ...
    ... problème. Notamment en musique classique, il y a des tas d’œuvres tombées dans le domaine public. Il fallait qu’on en écoute des quantités, pendant mes études. Et les étudiants n’ont pas de thune, c’est bien connu. Alors on achetait des CD à trois euros, versions tombées dans le domaine public, sans héritiers donc sans droits. J’en ai un stock, je les apporterai.
    — Pas sotte cette fille, pas sotte, commenta Frane.
    
    Puisqu’elle était désormais seule et toujours sans ressources, nous invitâmes Sandra à se joindre à nous pour le week-end. Nous nous arrêtâmes chez elle pour qu’elle récupère quelques affaires et nous fasse visiter. La baraque, je la connaissais, mais que très partiellement : le salon, le couloir, l’escalier et la chambre de Sandra. En fait, elle était vachement grande, du moins pour une maison de ville. Au rez-de-chaussée, petit salon, grand salon et salle à manger attenante, cuisine, bureau de papa, toilettes, escalier, sortie sur une terrasse arrondie à balustres dominant un jardin en contrebas à hauteur de cave. Jardin de ville il s’entend, soit deux cents mètres carrés entre quatre murs, mais rien que ça, c’était un luxe. À l’étage, trois belles chambres dont une avec terrasse dominant celle du salon, et une belle salle de bains, un grand palier avec salon de lecture et bibliothèque. L’escalier, logé dans une tour continue jusqu’à un grand grenier avec quatre fenêtres sur toit à la Mansart. Remarquable ! Le mobilier est luxueux, mais, mis à part quelques meubles ...
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