1. Orphelin


    Datte: 18/11/2022, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, religion, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... histoire…
    — Un viol ? Victime d’un pédophile ?
    — Non… enfin, oui et non. Nous sommes très catholiques et pratiquants, comme tu le sais. Monsieur le curé venait déjeuner chez nous presque chaque dimanche. Il régnait donc une grande confiance, et c’est moi qui étais chargée d’organiser la quête de chaque grand’messe, puis ensuite de compter l’argent récolté dans la sacristie. À l’époque, c’était un jeune curé très beau, et je crois que nous en étions toutes amoureuses. Alors quand un dimanche il m’a caressé la tête pendant que je faisais mes comptes, j’en fus plutôt fière. Et puis il est passé de la tête aux épaules, des épaules à la poitrine, me disant que pour mon âge j’étais déjà à une jolie jeune femme. Et puis il a sorti son sexe et il m’a dit que, comme j’étais une bonne chrétienne, j’aurai droit non seulement à la communion, mais, comme lui pendant la messe, à boire la liqueur divine.
    — Il t’a… forcé à le sucer ?
    — Non, j’ai pris ça comme une récompense, sachant qu’une demi-heure plus tard nous déjeunions à la même table.
    — Oh le malaise, je vois ça d’ici.
    — Tu vois mal. Parce qu’à table, mon père et ma mère étaient assis côte à côte, et donc moi près du curé qui continuait à me tripoter sous la nappe. Et mes parents ne disaient rien, semblaient ne s’apercevoir de rien. C’était peut-être normal, convenu d’avance entre adultes.
    — À mon avis, sûrement pas.
    — Bien sûr, mais à l’époque, c’était mon ressenti. Il n’y avait donc personne pour s’y opposer j’étais à sa ...
    ... merci. Le dimanche suivant, il a tenu à me confesser, dans la sacristie. La porte était fermée à clé, nous sortions par une porte dérobée dans les lambris, qui donne dans une remise où l’on entasse tous les objets qui ne servent plus, les vieux ciboires, les vieux tableaux, tout ce que contenait l’église avant d’être restaurée.
    — Ah oui ? Tiens, je ne savais pas. Et ça donne sur la rue ?
    — Oui, à l’arrière, une petite rue tranquille pleine de vieilles maisons. Donc il m’a confessée, me disant que j’étais une grande pécheresse et que je méritais une punition : réciter dix « Notre Père » et dix « Je vous salue Marie », nue, à genoux sur un prie-Dieu.
    — Oh le salaud !
    — Oui, et comme il me menaçait de damnation, d’enfer, et tout, j’étais terrorisée.
    — Et tu l’as fait…
    — Eh oui. Et il en a profité. Les voies du Seigneur sont impénétrables, mais pas les miennes.
    — Alors ?
    — Alors… ben j’ai seulement eu un peu mal et le dimanche suivant j’ai mis le thermomètre sur ma lampe de chevet et j’ai annoncé à ma mère que j’avais trente-neuf.
    — Dis-moi, ce curé, ce ne serait pas celui qui est parti je ne sais où, sur une île ?
    — À Mayotte, oui c’est ça. Tu le connais ?
    — Non, mais j’en ai entendu parler. Je crois que tu n’es pas la seule à avoir été abusée par ce sale type.
    
    Après cette… confession, Sandra se sentit soulagée, libérée. C’était la première fois qu’elle osait en parler, et en plus je n’avais fait aucun commentaire et je ne la rejetais pas pour autant. Ça lui donna ...
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