1. Le projet artistique (46)


    Datte: 17/11/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... Mais il avait véritablement flashé sur moi après que je me sois libérée. Il me trouvait alors plus gaie, plus charmante. Il avait fini par faire une approche alors que je sortais avec des copines un samedi soir. Nous avions fait les fofolles pendant la soirée et nous avions voulu la finir en boîte. Quelle ne fut pas ma surprise de le voir faire la sécurité à l’entrée !
    
    — Tiens Mlle G ? Vous sortez ce soir ?
    
    — Oh M S. Vous travaillez aussi ici ?
    
    — Oui en extra et seulement le samedi maintenant.
    
    — Nous pouvons rentrer ?
    
    — Vous êtes quatre femmes ?
    
    — Oui, c’est ça.
    
    — Allez-y. Amusez-vous bien. Et soyez sages.
    
    Il me fit un clin d’œil moqueur. Je ris comme une gamine. Mes amies me poussèrent dans l’établissement. Elles me taquinèrent une partie de la soirée, me disant que j’avais une touche. Vers deux heures du matin, des idiots éméchés vinrent nous embêter. Nous n’étions pas venus pour draguer ou nous faire draguer. Ils insistèrent lourdement, mais Cristian et deux autres vigiles intervinrent pour les calmer. Cela se fit dans le calme, mais avec fermeté. Les idiots furent exfiltrés de la boîte. Je fus très impressionnée par la force tranquille de Cristian. Nous ne repartîmes qu’un peu avant la fermeture. En nous en allant, je vis Cristian qui surveillait les sorties.
    
    — Merci encore pour tout à l’heure.
    
    — De rien, c’est mon travail ici. A lundi...
    
    — A lundi, mais je retrouverai mon bleu de travail.
    
    — Dommage, mais vous êtes toujours très jolie ...
    ... Graziella.
    
    — Mer... merci Cristian.
    
    A partir de ce soir-là, Cristian commença à faire des tentatives d’approche dès qu’il me croisait dans le lycée. Au départ, j’avais du mal à me dire qu’un homme pouvait s’intéresser à moi, à moi au naturel. Et puis je finis par entrer dans le jeu de la séduction. Depuis je ne passais pas un jour sans penser à lui et lui à moi. Apprendre que vous étiez ses enfants m’avait fait un choc. Mais je me dis qu’il ne fallait pas que je laisse passer un homme comme ça. Alors je suis restée et je ne l’ai pas regretté.
    
    Fin avril, nous sortions tous les deux au restaurant, comme il devait dormir chez moi et que le restaurant était tout près de mon appartement, nous y étions allés à pied. Nous avions fait un dîner formidable et bien arrosé. Cristian était charmant et drôle comme d’habitude. Il me lançait des œillades appuyées, je lui faisais du pied sous la table. J’avais hâte de rentrer chez moi avec lui. D’un coup, il se pencha par-dessus la table et me dit tout bas :
    
    — Nous serions seuls, je t’aurais allongée sur la table et je t’aurais fait l’amour comme un fou.
    
    — Cristian ! Cochon ! lui soufflai-je.
    
    Je râlai, mais cela m’avait émoustillée d’être l’objet de son désir. Mes tétons pointèrent et ma culotte s’humidifia un peu. Il dut s’apercevoir de mon émotion :
    
    — On dirait que l’idée ne te déplait pas tant que ça.
    
    — Non, j’avoue. Mmmmh et toi elle t’excite à quel point ?
    
    J’ôtai discrètement ma chaussure et tendis le pied pour ...
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