Perversion tunisienne (2) - Histoires de Sexe

Perversion tunisienne (2)

... ne respectes pas les consignes de jeu, avec son corps sculpté par le sport et ses fesses moulées par son short, sa poitrine de femme accomplie compressée par sa brassière mais qu’elle libère sous la douche, ses larges aréoles brunes ses tétons proéminents qui me donnent toujours envie de la téter, sa chatte à la pilosité charbon, bien taillée en un tout fin ticket de métro. Elle est belle Nadia et elle dégage un truc qui me fait mouiller quand je l’observe à la dérobée sous les douches, je sais pour en avoir parlé avec elle que Jamila aussi la kiffe et qu’elle aussi se branle dans son lit en imaginant des trucs avec notre entraîneur, on se fait même des films toutes les deux où on serait trois… Ces idées finissent de m’exciter et c’est avec une main entre les cuisses, poisseuse de ma jouissance que je finis par m’endormir.

Dimanche matin, mon réveil sonne et me tire d’un sommeil peuplé de fentes trempées, de bites dans des strings, de godes luisants de mouille... Il n’est que 7h et déjà j’ai envie de sexe... Non... J’ai plutôt envie de cul, j’ai adoré être traitée comme une petite chienne par Jamila au pire par Nadia... Je veux être chienne.. Une chienne pour toujours…

Bon en attendant je dois quand même me bouger les fesses si je ne veux pas rater le bus, passage éclair sous la douche, j’enfile une jupe et un t-shirt par-dessus ma culotte et mon soutif j’attrape mon sac de sport et j’y fourre vite fait ma tenue de hand, une paire de chaussettes, mes chaussures de ...

... salle et je descends prendre mon petit déjeuner.

Papa, comme à son habitude à tout préparé pour moi, il traîne encore en peignoir, me prend dans ses bras et me demande si j’ai bien dormi, en me disant que j’ai l’air fatiguée. Je le rassure d’un mot, j’avale mon bol de céréales et mon jus de fruit et je pars en courant rejoindre Jamila pour attendre le bus.

Dans le bus, sur notre banquette arrière, je lui confie mes doutes, lui raconte ma soirée, mes craintes, mes fantasmes et même les rêves sulfureux qui ont peuplé ma nuit. Cette garce n’arrange rien à mon état en glissant sa main sous ma jupe et en frottant ma fentine à travers le tissu de ma culotte qui commence à sérieusement s’humidifier sous ses doigts.

Arrivée à la salle d’entraînement, j’ai une envie pressante d’aller aux toilettes, Jamila m’accompagne. Mais quand nous entrons, une seule toilette est libre, je rentre en vitesse mais quand je veux fermer la porte Jamila est déjà derrière moi, elle me pose un doigt sur la bouche pour me faire taire, et referme derrière elle. Elle m’indique le siège.

« Tu es folle » lui dis-je sans qu’un son ne sorte de ma bouche.

Pour toute réponse elle me sourit, passe ses mais sous ma jupe et baisse ma culotte. Sa bouche se presse sur la mienne, sa langue force le passage et nos salives se mélangent. Je ne sais plus où j’en suis, j’ai trop envie, j’ouvre ma bouche en grand pour prendre la sienne, mes mains se glissent sous sa jupe et je m’aperçois alors que cette salope est ...