1. Rendre service peut changer ... la vie ? (14)


    Datte: 16/11/2022, Catégories: Transexuels Auteur: pauline69, Source: Xstory

    ... fesses et mon anus, il a toujours été doué pour faire les anulingus. Il en profite pour m’enfiler deux puis trois doigts dans cet orifice avant de se reprendre et de me remettre sur le dos. Il remonte pour m’embrasser goulûment puis repart pour une descente sans retour.
    
    Sa langue parcourt mes seins puis mon ventre, puis mon pubis. Il enchaîne ensuite sur des grandes "léchouilles" de l’intérieur des cuisses, je garde les jambes les plus écartées possible, ce qui m’est difficile, avant, dans la grande majorité des cas quand je me faisais pénétrer, c’était par l’arrière.
    
    Enfin, sa langue arrive sur mes lèvres toutes neuves, je devine qu’il les lèche, s’aide de ses doigts pour me faire réagir, mais ma zone n’est pas encore très réceptive. Il est patient et doux, je m’interroge sur le fait que son excitation et donc son érection tiennent tout ce temps.
    
    Comme je lui ai expliqué pendant le repas, je ne suis pas certaine de mouiller, aussi j’ai amené un gel. Il attrape le tube et me badigeonne complètement l’entrée et l’intérieur de mon vagin avec son index. Je sens que son membre commence à me pénétrer, je sens mes chairs s’écarter. Une fois qu’il est entré entièrement, il vient me demander à l’oreille si ça va, je lui fais signe que oui, aussi il part dans un mouvement alternatif sans se restreindre.
    
    J’ai peu de sensation, ce que je sens le plus, ce sont des crampes aux cuisses qui commencent à venir. Ça y est, quelque chose de chaud vient remplir mes entrailles, ça, ...
    ... je le ressens bien. IL se vide et laisse son corps lourd venir m’écraser. Je supporte son poids, mais mes cuisses commencent à trembler, il comprend et se retire pour venir se poser juste à côté de moi. C’est avec bien du mal que j’arrive à resserrer mes cuisses puis allonger mes jambes.
    
    Nous nous assoupissons tous les deux. Un bruit dans la rue nous réveille, Mathieu me propose de "remettre le couvert", j’accepte en optant par une prise par derrière pour soulager mes cuisses. Il est rapidement à l’œuvre, le fait de ne plus gérer mes cuisses fait que j’apprécie plus. Il ne peut s’empêcher de me sodomiser pour se vider, j’avoue que, pour l’instant, je prends toujours plus de plaisir par l’anus que le vagin. Nous replongeons cette fois-ci dans une vraie nuit de sommeil.
    
    Au réveil, pour le remercier, je lui fais une fellation, sans doute la plus appliquée que je n’ai jamais faite, tout son foutre finit au fond de ma gorge, ma langue prenant soin de tout absorber lors d’une toilette linguale.
    
    Mathieu me donne un baiser d’adieu devant la gare. Ça y est, je peux démarrer mon recueil, je vais m’y attaquer dans le train après avoir pris et donner des nouvelles à Laura.
    
    Petit achat compulsif, petite folie en passant dans la galerie de la gare, j’achète une petite robe de printemps. C’est à travers des petits moments comme celui-là que je m’aperçois que je ne réfléchis plus du tout en tant qu’homme.
    
    La page est blanche, mais pour moi, le titre est tout trouvé : "D’Olivier ...
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