1. Un si bel été, et ses suites (13)


    Datte: 15/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Janus04, Source: Hds

    ... canapé, devant la télé. Je l’entend rentrer. Elle ôte son manteau, ses chaussures et se laisse tomber à côté de moi.
    
    « Ouf ! Je suis morte !... Et un peu pompette, je crois.
    
    Pierrot a été sage ?
    
    -Oui, oui. Il ne s’est pas réveillé.
    
    -Bon. Eh bien ça m’a permis de passer une bonne soirée.
    
    Je vous paye et je vous appelle un taxi. »
    
    Je sens que c’est le moment de tenter le tout pour le tout :
    
    « Puisque je suis là, vous pourriez peut-être finir cette soirée agréablement… »
    
    Marianne me regarde avec un air un peu moqueur :
    
    « Dis donc, toi, tu n’aurais pas une petite idée derrière la tête ? Tu sais que tu pourrais être mon fils ?
    
    -Je préfèrerais être ton amant.
    
    -Eh bien tu n’y vas pas par quatre chemins ! »
    
    Elle me regarde en silence avec un petit sourire, le temps me semble s’être arrêté et je sens que je vais encore rougir ! Mais elle reprend enfin : « Après tout, pourquoi pas ? » et elle laisse aller sa tête sur mon épaule. Mon cœur bat la chamade. J’ai osé ! Enfin j’ai osé ! Sans plus tarder, de peur qu’elle se ravise, je l’enlace et pose ma bouche sur la sienne. Nos langues se rejoignent pour un baiser fiévreux et passionné. Marianne a glissé la main sous ma chemise et me caresse la poitrine. Je fais de même et je trouve sous le soutien-gorge un sein rond dont le téton durcit au creux de ma paume.
    
    Brusquement, presque brutalement, elle s’écarte, se lève : « Viens ! »
    
    Je la suis dans sa chambre.
    
    « Ne bouge pas, je reviens. »
    
    Elle ...
    ... file à la salle de bain, revient après quelques minutes, nue. Elle est belle, la taille fine, les hanches un peu larges, des seins tout ronds. J’ai eu le temps de me déshabiller et elle me rejoint sur le lit. Etroitement serrés, nous nous embrassons de nouveau tandis que nos mains descendent vers notre pubis. Elle caresse doucement mon sexe et mes testicules. Ma main se pose, entre ses cuisses, sur sa toison de poils taillés courts qui couvrent comme une douce fourrure sa motte rebondie. Sous ma paume le clitoris pointe, je le saisis entre deux doigts et je peux le branler comme une petite bite. Marianne réagit aussitôt. Ses « Ah, oui » s’enchainent tandis qu’elle serre fermement ma queue et me branle. Elle m’attire sur elle et je pénètre sa chatte ouverte et trempée. Ma bite est aussitôt étreinte de contractions ininterrompues tandis que ses « Ah, oui » se font plus bruyants. Nous basculons ensemble et c’est moi à présent qui suis sous elle qui me chevauche avec fougue. Ne pouvant me retenir plus longtemps, je lâche mon sperme et son cri de plaisir se joint au mien dans un accord parfait.
    
    « Maman, qu’est-ce que tu fais ? »
    
    Le petit Pierre, sans doute réveillé par nos cris, se tient à la porte de la chambre, tout ensommeillé.
    
    « Ce n’est rien, mon Pierrot, maman joue avec Nicolas.
    
    -Je veux jouer aussi.
    
    -Non, c’est des jeux de grands. Allez, il faut retourner faire dodo. »
    
    Elle se lève et me jette : « Ne bouge pas, je reviens ». Elle raccompagne son fils dans sa ...
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