1. Un si bel été, et ses suites (13)


    Datte: 15/11/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Janus04, Source: Hds

    ... immédiatement le contact du petit trou où il s’introduit sans peine. Alors que je pousse plus avant, je sens soudain une pression sur ma propre rondelle. Dans le feu de l’action, je n’avais pas remarqué que Cécile était passée derrière moi. Je proteste :
    
    « Cécile, tu sais bien que…
    
    -Tais-toi, tu vas vor que je vais te faire aimer ça, moi. »
    
    Sans tenir compte de mes réticences elle fait lentement entre le gode. Après une légère douleur initiale je le sens glisser à l’intérieur de moi et je découvre que ce n’est pas désagréable. Très rapidement nos mouvements se coordonnent, Cécile dans mon cul, moi dans celui de Sonia qui recommence à geindre et à répéter « oui… oui…oui » sur un ton de plus en plus haut. Je ne sais plus si mon plaisir vient de mon cul pilonné ou de ma verge qui pilonne, je suis submergé, je jouis en lâchant sporadiquement mon sperme. Sonia, prise de quasi convulsions, râle de plus en plus fort pour terminer dans un cri, les jambes tendues vers le ciel, avant de se relâcher comme une poupée de chiffon, moite, la sueur perlant sur son front. Je me laisse aller à mon tour.
    
    « Oh, mon chou, quel orgasme !
    
    -J’ai bien fait de te le présenter, non ?
    
    Et toi, petit salaud, ça ne te plaît toujours pas, la sodomie ?
    
    Vous n’avez pas soif, vous ? »
    
    Nous repassons au salon et ce doit être un curieux spectacle de nous voir tous les trois nus, buvant un whisky en reprenant notre souffle.
    
     
    
    Un si bel été, et ses suites (14)
    
    (Comment ...
    ... Nicolas rencontre le petit chaperon rouge et revisite le conte)
    
    Cette nuit, dans mon lit, j’essaie de faire le point. Agnès, Cécile, mes tantes Julie et Aline, Stoyanka, Edith de B., Juliette, Rachida, Sonia… toutes ces femmes avec lesquelles j’ai fait l’amour depuis ces derniers mois, ce sont toujours elles qui ont pris l’initiative. Mon manque de confiance en moi m’a interdit de prendre l’initiative. Je décide qu’il est temps de prendre de l’assurance et de choisir moi-même ma partenaire. Mais qui ? Je passe en revue les femmes de mon entourage susceptibles de répondre à mes avances. Certaines femmes de l’immeuble, célibataires o mariées ? Certaines me plairaient bien. La boulangère, dont la réputation est sulfureuse ? Une ou deux profs qui nous font fantasmer ?... Mais en cas d’échec, c »est la honte et le ridicule assurés. Il serait plus prudent de tenter ma chance hors du cercle de relations rapproché. Comme souvent, c’est le hasard qui va résoudre le problème.
    
    Ce matin, dans le métro à l’heure d’affluence, je me retrouve projeté contre une passagère. Je m’écarte de mon mieux en m’excusant. La femme me jette un coup d’œil, un léger sourire et se tourne légèrement, son regard retrouvant l’inexpressivité qui convient aux voyageurs des transports parisiens. Nous restons durant plusieurs stations dans cette promiscuité. Je note machinalement qu’elle a un joli visage, sans doute approximativement l’âge de ma tante Julie, mais que ce qui attire l’attention c’est son béret ...
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