1. Mille neuf cent soixante huit (2)


    Datte: 15/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Conkupiçan, Source: Xstory

    ... d’ailleurs toute relative. Je n’étais pas dans l’état d’esprit, pour cette fois, de m’exciter de manière provocante "devant" maman dans le lit jumeau de notre unique chambre, fût-ce discrètement sous les couvertures.
    
    C’est donc alors que mon sexe était en franche érection que ma mère entra comme une flèche dans la salle de bain.
    
    — Excuse-moi, il faut absolument que je fasse pipi : après la bière, je ne tiens plus.
    
    Elle se débarrassa si promptement de sa jupe de lourde laine en la faisant tomber aux chevilles, puis dans la foulée de ses collants également en laine qui rejoignirent la jupe aux chevilles, puis enfin de la large culotte d’époque en coton que je ne vis rien de prohibé.
    
    Je ne sais pourquoi (ou peut-être ne le sais-je que trop bien), je n’eus pas la décence de me tourner. Au contraire, je la regardais ainsi, le sexe bien sûr plus raide que jamais. Aussitôt posée sur la lunette, un jet dru et continu, puissant, long et ferme se fit entendre dans le silence absolu de la pièce. Soudain il n’y avait plus que ce jet d’urine invisible, mais fort et clair, bien prenant à l’oreille, amplifié encore par le carrelage nu et la pièce étroite.
    
    C’est alors que je m’aperçus que maman me regardait. Elle n’avait pas regardé en face d’elle, mais avait la tête tournée vers la gauche, vers moi qui me tenais les bras ballants en train de la fixer se soulageant de la diurétique bibine. Elle prit alors une feuille de papier toilette pour se sécher. Puis aussitôt une autre, ...
    ... la tête toujours dans ma direction. Mon membre commençait à palpiter de bas en haut au rythme du coeur. Je me fis la réflexion que sa main, avec la deuxième feuille, restait bien longtemps entre les larges cuisses musclées, mais toutefois, il est vrai, sans qu’elle ne bouge. Je vis alors qu’elle souriait.
    
    Et moi bêtement, entre gêne, plaisir intense et désir croissant :
    
    — Pourquoi souris-tu?
    
    — Rien, je te regarde. C’est tout.
    
    Mon coeur battait à tout rompre. Sa main persistait sans un mouvement entre ses cuisses. Presque tremblant, je pris alors mon sexe entre deux doigts, un peu plus bas que le gland, et débutai des mouvements de la main d’avant en arrière. Dans un silence absolu. Total. Hors du temps. D’ailleurs, combien de temps cela dura-t-il ? Trente secondes ? Une minute ? Moins ? Pendant ces secondes qui me parurent paradoxalement à la fois longues et trop courtes, je me masturbai doucement, calmement devant maman.
    
    Ma mère se leva alors, ajustant culotte, bas et jupe avec dextérité et précision, ne laissant rien, encore pour cette fois, entrevoir de son intimité et quitta soudain et tranquillement la pièce, droite comme un I. Droit comme un I, c’était justement bien mon état. J’entamai alors aussitôt une masturbation forcenée qui m’amena en quelques instants à une éjaculation puissante qui me fit tomber à genoux.
    
    Tous les jours qui suivirent furent apparemment normaux. Plus rien d’ambigu. De spécial. Hormis mes pensées. Dès lors je ne faisais plus que ...