1. Les voyages de Vincent (1)


    Datte: 15/11/2022, Catégories: Hétéro Auteur: KuroX, Source: Xstory

    ... rabaissai ensuite sa jupe sous laquelle la mère turque était désormais nue, puis me baissai et passai ma tête sous le tissu afin de me retrouver, couvert par son vêtement, face à ses fesses. Elles étaient toutes blanches, ni trop grasses, ni trop maigres, très agréables à regarder et à caresser. Je les chatouillais, les malaxais, et les embrassais, quand, au bout d’un moment, Meral appuya derrière ma tête avec sa main me collant le visage contre son derrière. Là aussi, je compris le message ; elle en avait assez de me sentir jouer avec son arrière-train et voulait que je me mette sérieusement à l’ouvrage. Je ne me fis pas prier et lui dévorais les fesses avec appétit.
    
    Je sentais qu’elle se contractait et entendais qu’elle commençait à haleter. Je me baissai ensuite pour mettre ma tête entre ses cuisses, espérant atteindre sa chatte avec ma langue. En me positionnant correctement en levant le menton, ce fut possible. Je tirais et remuais ma langue de toutes mes forces. C’était un travail très agréable, car elle était intégralement rasée. Je n’hésitais pas à lécher, à fourrer, à remuer partout. Cela devint plus difficile quand elle serra ses cuisses, comprimant ainsi ma tête. Mais je continuais quand même, ravi ...
    ... de voir que je lui faisais de l’effet. Plus je remuais la langue, plus elle gigotait, et j’entendais qu’elle frottait les couverts comme une furie ; la vaisselle allait assurément être propre. Désireux d’intensifier son plaisir, ainsi que le mien, je fis un effort pour relever encore ma tête afin de pouvoir mettre ma langue encore plus profondément en elle.
    
    Lorsque ce fut fait, je remuais du mieux que je pouvais et j’entendis alors un bruit de couvert qui tombait : Meral avait tout lâché et se tenait à l’évier, elle serrait les cuisses plus fort que jamais et poussait de petits gémissements aigus. Soudain, je pris une véritable douche de liquide vaginal sur le visage. Suffoquant, je retirais ma tête et sortis de dessous la jupe pour me relever. La mère de famille turque se tenait toujours contre l’évier, haletante et transpirante. Elle tourna sa tête vers moi, me sourit chaleureusement et m’essuya le visage avec une éponge avant de nettoyer ce qui était tombé sur le sol.
    
    Quand elle fut remise, elle termina sa vaisselle et sortit à son tour. Je fis de même et me mis en marche pour explorer les environs, satisfait de ce que j’avais accompli et me réjouissant à l’avance de finir le travail que j’avais commencé. 
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