1. La gérante du magasin (1)


    Datte: 15/11/2022, Catégories: Transexuels Auteur: Natachatrv69, Source: Xstory

    ... trouve ses lèvres. Nous nous embrassons à bouche que veux-tu.
    
    — Finissez d’éplucher les légumes et venez me rejoindre dans ma chambre, dit-elle en s’écartant.
    
    — Bien madaamme.
    
    Ce petit jeu me plaît bien et je sens que mon épouse est également très réceptive.
    
    Quelques minutes plus tard, je la rejoins dans chambre. Mon épouse est lascive sur le lit, n’attendant que moi. Elle s’est remaquillée avec des couleurs plus vives, et surtout, surtout, elle porte une guêpière et des bas que je n’ai jamais vu. Enfin si. Ce matin, sur Vanessa.
    
    — Alors ma surprise te plaît ? Enfin, mes surprises. Les bas aussi sont neufs comme les escarpins qui me font mal aux pieds d’ailleurs. Ils ne sont pas encore faits. J’ai voulu te faire plaisir, je sais que tu es sensible à ce genre de choses.
    
    — Mais... Mais comment as-tu fait ? Où es-tu allée ?
    
    — Et bien sûr, ma pause déjeuner ce midi, dans la boutique où tu vas, j’ai retrouvé l’adresse sur le ticket de caisse du shorty que tu m’as offert en début de semaine.
    
    Je reste sans voix. J’étais dans le même magasin le matin.
    
    — La vendeuse est très sympa. Et mignonne non ?
    
    — Euh... Oui, Oui ... Tu sais que je ne regarde pas trop les autres femmes mon amour.
    
    — J’ai donné ton nom pour les points de fidélité, j’ai bien fait ?
    
    — Oui, bien sûr mon amour. Mais je veux explorer la guêpière.
    
    Je m’allonge près d’elle et commence à lui caresser ses douces jambes. Je joue avec les jarretelles. Elle n’est pas en reste et m’enlève ...
    ... ma chemise. Je me retrouve vite nu, mon sexe ne connaissant plus la pesanteur. Le sexe de ma femme est humide, je veux le sécher avec ma langue, mais je ne fais qu’accentuer son humidité.
    
    — Viens, prends-moi...
    
    Je m’enfonce dans son puits d’amour et commence de doux va-et-vient. Ma femme me demande d’accélérer la cadence, de la pilonner. Ses mots sonnent bizarrement à mes oreilles. Elle n’a pas l’habitude de se lâcher. Je lui mange ses seins, alternant d’un téton à l’autre. Rapidement, j’éjacule en elle.
    
    — Je n’ai pas joui, viens me lécher ! J’ai envie de jouir, me souffle-t-elle à l’oreille.
    
    J’embrasse ses lèvres, cherche son clito, l’aspire et me retrouve pour la seconde fois de la journée avec du sperme dans la bouche, le mien mélangé à la cyprine de ma femme. Sensation bizarre une nouvelle fois.
    
    Nous nous sommes lovés l’un contre l’autre, avant de sombrer, je remercie ma femme pour ses achats.
    
    Elle me répond qu’elle a adoré, pour une fois, acheter elle-même sa lingerie et ses escarpins, même si elle n’est pas habituée à marcher avec
    
    — Je me suis allongée dès que je les chaussais, me confie-t-elle en souriant.
    
    Et à brule-pourpoint, elle me demande : tu la connais bien la gérante du magasin de lingerie ?
    
    — Mais non, pourquoi tu me demandes ça ?
    
    — Quand j’ai donné notre nom pour la carte de fidélité, elle m’a longuement regardé et souri.
    
    — Mais non, tu te fais des idées !
    
    Heureusement que nous sommes dans le noir, je me sens rougir.
    
    — Tu ...