1. Le matelas : mousse ou ressorts ?


    Datte: 14/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, extracon, essayage, vengeance, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... pardonné. J’ai moi-même corrigé cette erreur.
    
    Et de la main je lui montre mon bracelet.
    
    Il regarde.
    
    — Vous avez choisi celui-ci ?
    — Oui, j’ai compris que ces couleurs donnaient droit à un essai gratuit.
    
    Il me regarde, scrute mon visage pour s’assurer qu’il comprend bien. Je souris, option « délurée ».
    
    — Justement, je viens de recevoir un nouveau modèle qui est encore dans mon camion. Vous voulez le voir ?
    — Je suis venue pour cela.
    
    On ne peut pas être plus directe. Je ne me reconnais pas. Ce n’est pas moi qui ce matin en me levant, la tête encore confuse de rêves ou de fantasmes, ai décidé de tenter l’aventure. Pourtant pendant la douche, je me sentais tout excitée et il a fallu que je libère mes tensions par un massage intime. Après, j’ai choisi la robe d’hier, que mon mari n’avait même pas remarquée, soulignant ainsi la fracture dans notre couple, soignant mon maquillage, éliminant le soutien-gorge pour ne garder qu’une petite culotte dont le poids n’aurait pas fait bouger une balance de cuisine.
    
    Mais c’est pourtant moi qui fais le tour du stand pour suivre l’homme, qui accepte de monter dans le camion dont il a ouvert la porte, qui attends le temps nécessaire que l’homme aille prévenir le grand black de surveiller son stand. Je croise alors le regard du vendeur de colifichets. Ses yeux brillent autant que ses dents blanches. Il a compris…
    
    La porte se referme. Il ne fait pas trop chaud. Le soleil ne brûle pas encore les tôles de la camionnette. ...
    ... J’ai bien calculé. Oh, je devrais avoir honte d’avoir pensé à ce détail et organisé ma venue en début de marché. Il ne fait pas noir, juste un clair-obscur discret avec un hublot de verre dans chaque portière. Une fois la porte refermée il reste moins d’un mètre avant de buter contre des matelas posés sur le sol et qui font une marche assez haute.
    
    — Je m’appelle Nadia et toi ?
    — Romuald, me répond l’homme qui est déjà tout contre moi et qui m’enlace.
    
    Son baiser m’électrise. Il m’électrise autant par la transgression, début d’une infidélité calculée, que par ce contact si intime avec des lèvres autres que celles de mon mari. Des lèvres qui sont un bâillon symbolique avec une langue qui cherche la mienne. J’y réponds, par réflexe je pense, par surprise, je concède, par plaisir du fruit défendu. Une main est contre ma nuque, l’autre au creux de mes reins qui me font me mouler sur son corps. Sa chemise entrouverte laisse passer des poils que je rêve de toucher. Mais comme les hommes politiques, on ne pourrait rien glisser entre lui et moi.
    
    Déjà je sens qu’il s’active et que la ceinture de ma robe nouée dans mon dos se détache. En deux secondes ma robe est retirée. Je suis presque nue devant lui, lui qui fait sauter sa chemise, descend son short et son slip dans une urgence fantastique.
    
    Il bande. Son sexe libéré est déjà un bâton horizontal qui oscille tel un métronome de chair. Il le recouvre de latex. Il me pousse sur les matelas et dès que je m’allonge me retire mon ...
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