1. Le matelas : mousse ou ressorts ?


    Datte: 14/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, extracon, essayage, vengeance, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... ralentit l’avancée, encore ! Encore ! Je n’ai pas besoin de simuler, le foutre me remplit la bouche bien plus que toi dont les couilles vieillissantes sont faiblardes.
    
    Oui, tu me vois garder précieusement la liqueur de mon amant.
    
    Oui, tu peux deviner que si ma glotte bouge, c’est pour avaler le sperme.
    
    Oui, tu me vois récupérer d’un doigt ce qui s’était échappé et le sucer avec délice.
    
    Oui, tu me vois faire la toilette de ce mandrin qui faiblit un peu, mais que je réveille, pas comme toi où il faut attendre pour une nouvelle vigueur.
    
    Oui, tu me vois me redresser pour aller chevaucher mon amant.
    
    Regarde comme je me remplis avec.
    
    C’est bon, je n’ai pas besoin de feindre. Noël a compris, je le vois nous filmer, s’attarder sur mon visage, se pencher pour enregistrer comme je monte et descends sur la bite. Je n’oublie pas le son. Je gémis, je dis combien c’est bon, qu’il est dur, qu’il me remplit totalement. Une seconde, je pense dénigrer mon mari, mais je me retiens. Même si sa jeune stagiaire l’a dragué pour avoir le poste, les vidéos montrent, sans doute possible, qu’il l’a fait jouir, comme il sait le faire avec moi… enfin je veux dire avant… Que sera notre avenir lorsque je lui montrerai ma vengeance ? Sera-t-il beau joueur ou bien comme beaucoup d’hommes refusera à l’épouse ce que le mari a fait ?
    
    En tout cas ma vengeance n’est pas une épreuve. Je me découvre une vraie envie de sexe. Avec Alain on était dans une routine, routine agréable, mais ...
    ... routine tout de même. Difficile d’innover après tant d’années. Chacun connaît l’autre comme il se connaît lui-même. D’ailleurs Alain avait évoqué ce point pour céder aux avances de la jeune traînée. Cela n’est pas une excuse, mais je comprends un peu. Je comprends, mais je ne pardonne pas. Il aurait dû m’en parler.
    
    C’est vrai que le short du cameraman montre une énorme bosse. Il bande et je peux le comprendre. Romuald a suivi mon regard et il sourit. Une seconde de complicité, mais aussi je le vois tendre la main vers le short. Noël a remarqué le mouvement. La main tire sur l’élastique, mais le short résiste. Les deux hommes me regardent. Une demande muette, pressante. Je réalise soudain que les deux hommes sont des complices, que le jeu des bracelets est une entrée en matière avec la proie repérée par l’un ou par l’autre. Une façon détournée de « tâter le terrain » et de faire une proposition… La proie, c’est moi.
    
    Pour moi, c’est plus facile. Pourtant il faut que je tire très fort sur l’élastique pour libérer la verge.
    
    Noël continue de filmer. Son bâton sombre, longue tige horizontale est étonnante. Même pendant ma jeunesse, je n’ai jamais eu l’occasion de voir un sexe que les rumeurs entre filles décrivaient comme très gros, presque trop gros pour nous, jeunes délurées et qu’il fallait une longue pratique pour pouvoir l’accepter en soi.
    
    Mensonge, exagération bien sûr, mais tout de même. Il est plus imposant que Romuald et même que mon mari qui est bien pourvu. Sans ...
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