1. Éducation Maternelle


    Datte: 14/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... souffle et mes esprits.
    
    J'ai couvert mes yeux avec mon avant-bras, recherchant l'obscurité pour retrouver mon calme.
    
    Puis, j'ai senti le lit bouger.
    
    J'ai jeté un coup d'œil.
    
    Camille rampait sur moi.
    
    «Maman...»
    
    Ses jambes ont écartées les miennes.
    
    «Maman...»
    
    Sa main enroulée autour de sa queue. Instinctivement, il a ouvert ma chatte trempée avec la tête de sa bite.
    
    Mon corps frémit de nouveau. Tellement longtemps que je n'avais pas reçue cette impérieuse caresse.
    
    «Maman, je peux?» Si poli ...
    
    «Sers-toi, chéri, si tu veux me baiser, sers-toi.»
    
    Il n'attendait que ça.
    
    Il a guidé sa verge vers mon ouverture et l'a poussée en moi.
    
    Ma chatte gorgée de sang s'est ouverte trop facilement.
    
    Malgré sa taille, il s'est inséré en moi d'une seule poussée, me traversant jusqu'en butée.
    
    J'ai gémi, plaisir et douleur mélangés, écartelée et comblée, ravie.
    
    «Maman...C'est tellement chaud et serré, ça n'a rien de commun avec la masturbation.»
    
    «Est-ce tu aimes, bébé?»
    
    «...»
    
    Son sexe heurtait le fond de mon vagin, comme s'il voulait retourner à l'endroit d'où il venait.
    
    Un frisson sombre et tordu m'a agité. J'ai miaulé lorsque sa queue a heurté mon col.
    
    «Tellement bon, bébé, continue» Je grognais pour le conforter.
    
    Camille appréciait l'intégralité de sa queue à l'intérieur de moi. Je sentais son sexe palpiter dans mon ventre.
    
    Son visage à quelques centimètres du mien. Enduit de mon propre jus.
    
    Je me poussais en avant pour ...
    ... l'embrasser, enveloppant sa tête avec mes bras.
    
    Je goûtais la saveur acidulée de ma cyprine sur ses lèvres.
    
    Puis il a commencé à aller et venir en moi.
    
    J'ai senti les parois intérieures de ma chatte s'étirer et sucer sa bite lorsqu'il me labourait. La grosseur exubérante de son gland déclenchait à chaque passage, un feu d'artifice d'émotions dans mes terminaisons nerveuses.
    
    J'embrassais mon fils à pleine bouche, en m'accrochant fermement à ses maigres épaules.
    
    Le tempo de Camille augmentait. Il continuait de me fouiller en m'épinglant au lit.
    
    «Chéri, ralentis, pas besoin de te précipiter.»
    
    Mais Camille ne pouvait plus m'entendre ni me comprendre.
    
    Possédé par l'exubérance de sa jeunesse, ivre de plaisirs et de sensations qu'il découvrait.
    
    Le corps d'une femme sous lui. Plonger pour la première fois dans la chaleur moite d'une femme.
    
    Son premier véritable émoi d'homme, c'est sa mère qui lui donnerait.
    
    Je me préparais, sachant ce qui m'attendait. Je savourais cet instant précieux.
    
    Camille me tamponnais de plus en plus fort, les dents serrées, en sueur.
    
    En plein effort, aucun mot ne sortait de sa bouche, juste des grognements gutturaux.
    
    Il respirait fort en gémissant, je pouvais sentir son haleine, sa bouche contre la mienne.
    
    Le besoin désespéré d'une libération primaire enflait en lui. Ses mouvements ont perdu toute fluidité.
    
    Brusquement, des spasmes l'ont empêché de continuer. J'ai senti sa bite se contracter en moi.
    
    Il s'est ...