1. Éducation Maternelle


    Datte: 14/11/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byRainett, Source: Literotica

    Tous les soirs, lorsque mon mari s'endormait ... je rendais visite à mon fils dans sa chambre.
    
    «Chéri, papa dort.»
    
    Cette odeur poivrée, le parfum d'un corps d'homme, mélangée à l'odeur de la peinture...
    
    Mon fils, Camille, n'était pas un homme, juste un adolescent tardif et nigaud de 19 ans.
    
    Étudiant aux Beaux-Arts, il n'avait que deux hobbys : la peinture et les filles.
    
    Il avait beaucoup de succès auprès des filles.
    
    Ses traits graciles, presque efféminé, doux et délicat, elles adoraient.
    
    Mais c'était un garçon si timide, je me demandais s'il parviendrait un jour à conclure.
    
    Donc le soir, tard dans la nuit, lorsque rien ne nous dérangeait, je l'éduquais.
    
    C'est notre temps privé, rien qu'à nous, entre une mère et son fils.
    
    Camille m'attendait comme d'habitude. Impatient et anxieux. Tendre et amoureux.
    
    Comme tous les soirs. Au début, c'était juste un baiser, pour lui souhaiter une bonne nuit.
    
    Je l'aidais dans ses études, et je le récompensais d'une étreinte et d'un chaste baiser.
    
    Progressivement, l'étreinte s'est prolongée et nos lèvres se sont effleurées.
    
    J'ai été surprise par l'arc électrique qui a crépité lorsque nos lèvres se sont frôlées.
    
    J'ai attribué cette décharge au fait que mon mari me délaissait, négligeait mes besoins de femme, et que mes pulsions devenaient incontrôlables.
    
    C'était un soir semblable à tous les autres.
    
    J'aidais Camille à peaufiner son travail, profitant du moment intime que nous partagions, mais ...
    ... aussi en stimulant mon intellect. Je n'étais pas tellement instruite, je n'ai pas fréquenté l'université dans ma jeunesse, mais j'ai aimé la vie scolaire. Plus nous approchions de l'examen de fin d'année, plus l'atmosphère était tendue.
    
    «Maman...»
    
    «Je sais, mon chéri.»
    
    Et puis quelque chose de plus profond, un sentiment indescriptible s'est adjoint au baiser.
    
    Lorsque Camille a ressenti sa première grosse érection pendant que nous nous embrassions, je me suis dit que je ne devais pas insister. C'était un baiser, comme les autres nuits, léger et merveilleux.
    
    Mais cette nuit-là, dans le feu de l'action, ma main s'est posée sur sa verge tendue et durcie.
    
    Je me suis dit que c'était parfaitement normal, une simple réplique biologique.
    
    Nous nous sommes embrassés plus profondément après cet incident et, progressivement, insidieusement, je me suis sentie plus à l'aise pour toucher son érection.
    
    J'ai pensé que c'était mon rôle de mère responsable, de l'éduquer aussi en ce qui concerne les choses du sexe.
    
    Mon mari, son père, était rarement présent. En tant que mère, je devais me sacrifier pour mon fils.
    
    J'ai donc décidé de commencer sa formation complémentaire aux choses du sexe et de la vie.
    
    Assise au bord du lit, Camille était couché à côté de moi, son short aux genoux.
    
    «Une, deux, une, deux ...»
    
    Nos corps étaient proches. Sa hanche contre la mienne, ma main sur la sienne.
    
    Penchée sur lui, chuchotant mes paroles, je lui insufflais le bon ...
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